« Le groupe des vierges s'en revenait des abords d'une source lovée au creux de la colline, leurs jarres d'eau calées sur la tête ; elles disparurent en chantant au milieu d'un bois d’Albizias. Sur les rocs entourant la source, en arrière, une fleur de scirpe encore fraîche gisait écrasée parmi les fragments de jarre. Puis le soleil s’inclina vers l'ouest au-dessus de la baie d’Ariaké qui s'élargissait au loin, au pied de la colline. »