Kiyoaki avait écrit une poésie de Shigeyuki Minamoto :
Je sens du vent le souffle rude
Quand les flots brisent aux rochers.
Epuisé par la solitude,
Alors je rêve aux jours passés.
Au dessous, Satoko avait transcrit un poème de Yoshinobu Onakatomi :
Quand le jour le cède à la nuit,
Que luit le feu des sentinelles,
Le souvenir des jours enfuis
Trouve en moi une vie nouvelle.