Le soir, à son arrivée à la maison, des cris de joie sauvage l’accueillaient. Les portes claquaient, l’escalier se mettait à trembler et on le prenait d’assaut avec une telle fougue qu’il devait parfois se laisser glisser sur le plancher, écrasé sous la bousculade et les baisers. Alors, malgré sa fatigue, il partait d’un grand rire, délicieusement ému.