Je dois vous dire que rien ne me passionne plus que les commencements. Dans toute aventure, qu'elle soit individuelle ou collective, le plus important et aussi le plus beau, c'est le début. Après, tout se déglingue.
Si je pouvais, je recommencerais tout et tout le temps. Il m'est arrivé de penser - et aujourd'hui encore - que le Mal, je veux dire le principe de dégénérescence, s'est manifesté avec le Temps, à la seconde, au millième de seconde où le Temps s'est mis en branle.