[A propos des peintres du Quattrocento qui ont introduit la perspective]
Est-il vrai que l’on ne désire l’ailleurs que là où l’ici s’affirme ? Eh bien, voici comment un art de l’affirmation, une civilisation du lieu assumé peuvent se prêter, activement presque, à l’imagination d’un lieu autre, à la rêverie d’un art inconnu ; se prêter à l’insatisfaction, à la nostalgie, aider à la dépréciation de cela même dont ils disaient la valeur.
[…] J’avais donc aimé chez quelques grands peintres ou architectes ce qu’on pourrait appeler la synthèse de l’être dans la catégorie de l’espace.