C'est bien la malfbouffe qui a tué les obèses, par l'intermédiaire du coronavirus. "
[...] une pomme qui n'est pas issue de l'agriculture biologique subit en moyenne 36 traitements chimiques [...]
Alors même que l'ONU appelait à un plan de sécurité alimentaire mondiale, le texte de l'accord de Paris, en décembre 2015, sous l'égide de la même organisation, évoque la "production et la distribution alimentaires", privilégiant ainsi les intérêts économiques sur la sécurité alimentaire des populations les plus vulnérables.
80% sont cultivées sous serre et sans terre. Il n'en reste que 20% en plein air. En effet, dans toute l'Europe, les tomates sont produites onze mois sur douze sous serres chauffées (à 18°C minimum). Elles sont cultivées hors sol, en hydroponie et dans un substrat de laine de roche avec une solution nutritive contenant de l'eau et des engrais de synthèses [...]
En tant que consommateurs, nous pouvons agir tous les jours et démontrer que le changement passe par notre acte d'achat.
Cette histoire invraisemblable, c'est la notre, l'histoire d'une société capable d'engendrer sa propre perte à travers sa nourriture, celle d'une maladie planétaire car nous construisons un suicide de masse: désormais l'obésité tue plus que la famille qui pourtant n'a pas regressé, en raison des conflits, de la montée du changement climatique mais aussi et surtout à une alimentation non transformée, poison pour l'organisme."