Le bonheur de la vie charentaise s’exprimait à travers cette indolence, cette paresse du langage. En Vendée, les sonorités étaient plus rugueuses, les mots plus pesants. Il se lia vite d’amitié avec des femmes de tous âges. Des mémés le considérèrent comme un petit-fils. Il les appela grand-mère, et les servit bon poids, s’intéressant à leur présent, et surtout à leur passé. Leurs histoires lui procurèrent un vrai plaisir.