Le terme de somatisation encore neuf à l'époque du roman n'est pas prononcé, mais les maux physique de Mme Horbrandt qui, hantée par la maladie et par la mort avoue peu à peu son malaise existentiel, en sont bien la manifestation. Le docteur Stival qui a su les comprendre et les interpréter est un secours pour la jeune femme en recevant ses confidences, en comblant sa solitude et en réveillant sa sensualité et ses rêves d'amour.