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3.25/5 (sur 2 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 15/12/1829
Mort(e) à : Cannes , le 08/02/1875
Biographie :

Émile-Louis Galichon est un historien, critique d'art et collectionneur d'art français. Il est le fils de Louis Étienne Galichon (Paris, 1788-Charnay-lès-Mâcon, 1873), négociant en vins à Paris, et de Marie Antoinette Tuffet (1802-1873).
Il a acheté la Gazette des beaux-arts en 1863 et en devient le directeur.
Il fonde en 1868 la Société française de gravure, dont il a été le président-directeur jusqu'à sa mort.
Il organise une exposition au Palais de l'Industrie en 1869. En août et septembre 1869, il fait un voyage à Munich en compagnie de Charles Blanc et Paul Chenavard.
À partir de 1872, pour des raisons de santé, il se rend souvent à Cannes où il loge villa Léon ou villa Francis. La maladie l'obligeant à diminuer ses activités, il a délaissé la direction de la Gazette des beaux-arts.
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Source : wikipedia
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Citations et extraits (7) Ajouter une citation
Nous le déclarons en toute sincérité, si nous ne pouvions juger Rubens que par plusieurs des tableaux de cette Galerie tels qu'ils sont aujourd'hui, il cesserait d'être pour nous un des plus grands coloristes. C'est que pour être coloriste il ne suffit point de couvrir une toile de couleurs éclatantes, mais de savoir les fondre par des demi-teintes et de faire qu'elles s'accordent entre elles.
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A des paroles aussi sages nul ne saurait trouver à reprendre, et les avis sur ce point ne peuvent qu'être unanimes. Mais l'opération du nettoyage est délicate , et la majorité, dit M. Yillot lui-même, des hommes compétents votent obstinément pour l'abstention , persuadés que les tableaux courent grand risque d'y perdre. Il nous semble donc qu'il serait au moins opportun lorsqu'on doit entreprendre une tâche aussi difficile, dont la fin pourrait être si désastreuse, surtout lorsqu'il s'agit de tableaux d'une valeur inappréciable , de suivre la coutume des médecins forcés d'appliquer un remède qui pourrait compromettre la vie du malade. Le devoir, l'intérêt même des hommes auxquels échoit cette mission pleine de périls , est de mettre leur responsabilité à couvert derrière une commission , sérieusement consultée avant tout sur l'urgence des restaurations , et ensuite sur les moyens les plus propres à employer pour le faire avec sécurité. Or, nous le demandons, cette marche a-t-elle été suivie en ce qui concerne les chefs-d'oeuvre du Louvre?
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Les progrès d'Albert furent rapides; tout en exécutant les petites figurines qui ornaient les bijoux de son père, il sentit en lui se révéler son génie. N'apercevant dans son état qu'un champs trop étroit pour les vastes pensées qui agitaient son esprit, il demanda à son père d'abandonner sa profession pour la peinture. Celui-ci regrettait le temps perdu de l'apprentissage et s'opposa d'abord à ce projet; mais bientôt il dut céder aux demandes réitérées de son fils, et le jour de la Saint-Andé, l'an 1486, il le fit entrer pour trois ans chez Wohlgemuth. Cet artiste éminent avait auprès de lui un grand nombres d'élèves, peintres déjà expérimentés qui l'aidaient beaucoup dans ses travaux.
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Mais contrairement à toutes les opinions reçues jusqu'à ce jour, l'auteur de l'article « pose en principe qu'on n'abîme pas un tableau de maître « aussi facilement qu'on le pense généralement. » Nous avions toujours pensé qu'on ne pouvait poser en principe que des vérités universellement admises, et cependant, l'écrivain le reconnaît, la majorité des connaisseurs croit le contraire. Si le principe « peut paraître étrange, dit M. Villot, il est exact; » et il entreprend de nous le prouver.
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Fixé depuis lors à Nuremberg, Albert Dürer, pendant nombre d'années, ne songea plus qu'à utiliser les études qu'il avait faites dans ses voyages, Comme les peintres qui sentent leur génie, il avait vu les chefs-d'oeuvre des Pays-Bas et de Venise, sans cependant rien perdre de son caractère propre.
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Doué d'un génie qui le portait plus à rendre la nature telle qu'il la voyait qu'à l'interpréter. Albert Dürer fut surtout un admirable portraitiste. Nul peintre n'a peut-être, autant que lui, su conserver au personnage qu'il représentait son caractère propre, son indivdualité.
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Alber Dûrer, malgré l'admiration dont il était l'objet, ne se croyait point arrivé au sommet de l'échelle de l'art ; il cherchait toujours à agrandir son style et les plus belle créations de son pinceau sont aussi les dernières qui en sortirent.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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