Sa grande affaire, c'était la mort. Mayliss n'avait aux lèvres que des destins brisés, Adèle Hugo, Virginia Woolf, Martin Eden, tous ces êtres qui n'avaient paru vivre que pour hâter l'heure de mourir. [...] Elle recherchait les lectures dangereuses. Si je lui demandais lesquelles, Mayliss criait cette phrase d'un écrivain oublié : « Mon livre de chevet fut longtemps un revolver. »