L’euphorie est sincère mais ne dure pas plus d’une dizaine de jours après quoi, le premier symptôme de ma déchéance apparaît : la solitude. Toutes les personnes vivantes que je connais, les amis, les femmes, les relations professionnelles, dépendent du monde médiatique et m’effacent prudemment de leur fichier comme le vulgaire virus que je suis devenu. Je ne leur en veux pas. Me fréquenter c’est presque une complicité, déjà une faute