Sur le papier l’Autriche est morte ; elle est tombée sous tutelle allemande. Mais, comme on le voit, rien ici n’a la densité du cauchemar, ni la splendeur de l’effroi. Seulement l’aspect poisseux des combinaisons et de l’imposture. Pas de hauteur violente, ni de paroles terribles et inhumaines, rien d’autre que la menace brutale, la propagande, répétitive et vulgaire. P 69