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4/5 (sur 2 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Budapest , 1925
Biographie :

Judith Dupont, née Dormandi, est éditrice et psychanalyste, éditrice et traductrice des oeuvres de Sandor Ferenczi
Née en Hongrie, elle a émigré en France en 1938, y a fait des études de médecine.
A Budapest déjà, sa famille était voisine de celle des Ferenczi. Plus tard, elle devait hériter des papiers de son oncle Michael Balint.
Depuis un demi siècle, Judith Dupont pratique la psychanalyse. Elle commencé à analyser des enfants dans différentes institutions, parmi lesquelles le Centre Etienne-Marcel à Paris, et a eu une clientèle privée d'adultes. En 1969, Judith Dupont fonda avec quelques collègues la revue «Le Coq-Héron». Longtemps imprimée et éditée par Jacques Dupont, son mari, cette livraison trimestrielle est publiée
depuis peu chez Erès. En langue française, il s’agit de la deuxième revue à avoir vu le jour, après la «Revue Française de Psychanalyse».
Institutionnellement, le docteur Judith Dupont fait partie de l’APF (Association Psychanalytique de France) Elle pratique la psychanalyse avec les adultes et avec les enfants, à Paris, avec vue sur Seine, dans l’île de la Cité, à deux pas du Pont-Neuf et à l’ombre du Palais de Justice.
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Source : http://www.psychoanalytikerinnen.de et http://www.apppsy.be
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Bibliographie de Judith Dupont   (13)Voir plus

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Otto Rank (1884-1939), la volonté créatrice : Une vie, une œuvre (1997 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 3 avril 1997. Par Bénédicte Niogret. Réalisation : Jean-Claude Loiseau. Avec Pierre Bitoun, Claude-Louis Combet, Alain de Mijolla, Aimé Agnel et Judith Dupont. Avec la voix d’Anaïs Nin. Textes dit par Jean-Luc Debattice. Otto Rank, né Otto Rosenfeld le 22 avril 1884 à Vienne et mort le 31 octobre 1939 à New York, est un psychologue et psychanalyste autrichien. D'abord membre du premier cercle freudien, secrétaire de la Société psychanalytique de Vienne et membre du « comité secret », l'évolution de ses recherches lui vaut d'être exclu de l'Association psychanalytique internationale en 1930. Il est considéré comme un dissident du mouvement international. Otto Rank est originaire de Vienne, issu d'une famille de la moyenne bourgeoisie juive. Fils de l’artisan d’art Simon Rosenfeld, il est contraint, dans un premier temps, de travailler lui-même comme artisan et de renoncer aux études supérieures. Il prend le nom de Rank à l'âge de dix-neuf ans, en référence au bon Dr Rank de la pièce d'Ibsen, "La Maison de poupée". Il lit à vingt ans "L'Interprétation des rêves" de Freud et écrit un essai que le psychanalyste Alfred Adler transmet à Freud. Il devient dès lors un psychanalyste du premier cercle et, en 1906, devient le premier secrétaire de la Société psychanalytique de Vienne et à ce titre, l'auteur des transcriptions des minutes de la société viennoise (conférences et d'échanges), de 1906 à 1918. En 1924, il publie "Le Traumatisme de la naissance", s'intéresse à ce qui se trouve avant le complexe d'Œdipe et propose une vision différente de celle de la psychanalyse d'orientation freudienne. Sigmund Freud l'analyse brièvement jusqu'à fin décembre 1924 puis le rejette ; Rank se trouve exclu des cercles psychanalytiques freudiens. En 1926, Rank s'installe à Paris, devenant l'analyste d'Henry Miller et d'Anaïs Nin, avec qui il a une courte liaison. Il voyage en Amérique, où il rencontre un certain succès. Il est invité notamment à la société de Rochester pour la Protection de l'enfance en danger où travaille alors Carl Rogers. Il est exclu de l'Association psychanalytique internationale le 10 mai 1930. En octobre 1939, il meurt à New York à l'âge de 55 ans, des suites d'une septicémie. Sources : France Culture et Wikipédia

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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
L'art de chaque époque rejette une partie des conventions du passé, et souvent fait scandale avant d'être intégré.
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Ensuite, les juifs ont été obligés, par décret, du moins dans les pays germanophones, d’abandonner leur patronyme hébreu pour prendre, ou plutôt acheter, un nom à consonance allemande. Les plus riches ont pu acheter des noms « brillants » contenant les mots de Gold, Silber, Diamant. Les moins riches se contentaient de noms de métiers, de lieux, de couleurs, et les plus pauvres se voyaient même affublés de noms ridicules. Puis beaucoup de juifs hongrois, très attachés à leur pays, ayant souvent participé aux luttes de libération, ont souhaité changer leur patronyme allemand en un nom hongrois. C’est ainsi que les Fraenkel sont devenus Ferenczi, et que Frigyes (Frédéric) Spitzer, mari de ma grand-mère, est devenu Frédéric Kovâcs.
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« Je ne peux le dire à personne, alors je le dis à tout le monde »

Frigyes Karinthy (auteur-humoriste, poète et philosophe hongrois du XXème siècle)

Citation en introduction, p.9
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