Chien qui aboie ne mord pas dit le proverbe. Moi je veux bien le croire, mais le chien, lui, est-ce qu'il sait ?
Vous êtes déjà allés au Bois de Boulogne, à 2 heures du matin ? C'est le seul endroit que je connaisse où, quand vous donnez un coup de pied dans un buisson... il vous le rend !
Où les caleçons molletonnés ont-ils vu le jour, à votre avis ? Pas dans mon imagination. Plutôt sur les marchés où je vendais des produits de confection. Les hivers, à l'époque, n'avaient rien à envier à ceux du Grand Nord. (p. 9)
J'ai passé un tiers de ma vie à ne rien savoir, un autre tiers à essayer, et le dernier à faire semblant.
Revenons à Popeck ! Dans les années 1970-1980, il se vendait sur le marché du film, disons, à condition qu'il garde son accent. Du reste, comme aimait à me le répéter Michel Galabru, le navet, c'est ce qui alimente la soupe familiale. (p. 23)