Où les caleçons molletonnés ont-ils vu le jour, à votre avis ? Pas dans mon imagination. Plutôt sur les marchés où je vendais des produits de confection. Les hivers, à l'époque, n'avaient rien à envier à ceux du Grand Nord. (p. 9)
Revenons à Popeck ! Dans les années 1970-1980, il se vendait sur le marché du film, disons, à condition qu'il garde son accent. Du reste, comme aimait à me le répéter Michel Galabru, le navet, c'est ce qui alimente la soupe familiale. (p. 23)