Nationalité : France
Né(e) le : 15/01/1889
Mort(e) : 1977?
Né(e) le : 15/01/1889
Mort(e) : 1977?
Biographie :
Auteur français de nombreux romans publiés dans les années 30.
La Russe. Paris, La Nouvelle Société d'édition, Collection "Elles", N° 1, 1929.
La Méridienne. Bernard Grasset 1926.
Auteur français de nombreux romans publiés dans les années 30.
La Russe. Paris, La Nouvelle Société d'édition, Collection "Elles", N° 1, 1929.
La Méridienne. Bernard Grasset 1926.
Source : Catalogue de la BNF
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Citations et extraits (5)
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Le psychiatre avait soudain reparu en lui. C'est une espèce que je n'aime guère, toujours prête à découvrir dans vos ancêtres quelque grand-père, quelque tante ou quelque bisaïeul auxquels vous devrez de monter aux arbres ou de vous jeter tout habillé dans la baignoire. N'allait-il pas formuler l'habituel : "Hé ! hé !.. mais voyons ça...Vous m'avez l'air bien nerveux, mon cher monsieur !..." avec lequel ses pareils vous envoient aux douches (dont ils seraient, parfois, justiciables) ou vous internent dans leurs sinistres auberges, car il est rare qu'ils perdent leur sens de bons commerçants.
Fascisme.
L'Europe, la France surtout, crut plaisant au début de rire du fascisme. Aux yeux de tous l'Italie venait d'inventer sa dernière mandoline et Paul-Boncour, ministre français de la Guerre au Veglione du 6 février 1934, qualifia Mussolini d'un "César de Carnaval".
L'Europe, la France surtout, crut plaisant au début de rire du fascisme. Aux yeux de tous l'Italie venait d'inventer sa dernière mandoline et Paul-Boncour, ministre français de la Guerre au Veglione du 6 février 1934, qualifia Mussolini d'un "César de Carnaval".
N'ayant que son fixe pour vivre, une pupille à nourrir et 28.257 francs à offrir à Jeannine, Mr Geoffrin ne pouvait concevoir l'avarice : c'est un luxe, en effet, trop coûteux pour les pauvres gens ...
- C'est ça ! Allez, monsieur, et priez. C'est un grand médecin que le bon Dieu. Lui seul peut nous guérir. Mais s'il s'y refuse, disons simplement :
" Seigneur, que votre volonté soit faite ! "
J'aurais volontiers répondu : Amen, si je n'avais senti monter plus impérieusement à mes lévres : " Ah ! sapristi, de sapristi, de sapristi !.."
" Seigneur, que votre volonté soit faite ! "
J'aurais volontiers répondu : Amen, si je n'avais senti monter plus impérieusement à mes lévres : " Ah ! sapristi, de sapristi, de sapristi !.."
Les chiffres ... oui ... les chiffres ... mais le coeur ?
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