Après avoir entendu parler de cette série partout sur les réseaux sociaux, j’ai cédé. Globalement, l’intrigue sur la malédiction et la romance avec Tamlin ne sont pas fameuses. Je me suis ennuyée lors des 20 premiers chapitres (sur 46…), où il ne se passait pas grand-chose.
J’ai eu du mal avec Feyre, car tout est fait dès le début pour que le lecteur l’apprécie, et ça en devient forcé. On la présente comme martyr d’une famille d’ingrats dont elle a promis toute jeune de s’occuper. Ses capacités sont mal justifiées, elle aurait notamment appris à tirer à l’arc en observant des chasseurs et en les imitant, et vu le niveau dont elle fait preuve c’est dur à croire. C’est d’ailleurs grâce à cette technique qu’elle a appris à nager, encore toute seule bien-sûr. Son obsession et son immense talent pour la peinture m’ont vite agacée. J’ai cependant apprécié son évolution entre le début et la fin du tome sur la manière dont elle considère les Fae.
Il n’y a aucune alchimie entre Feyre et Tamlin, sa relation avec Rhysand est plus intéressante même si je reste mitigée à ce propos. En effet, elle est forcée de passer un marché extrêmement contraignant avec lui, une semaine par mois à la Cour de la Nuit pour le restant de ses jours. Ensuite, il l’oblige à venir presque nue à des soirées, puis la drogue et la force à danser pour lui de manière suggestive. J’ai été assez choquée lorsqu’il lui dit tranquillement au chapitre 42 que s’il n’a pas abusé d’elle, c’était uniquement pour éviter de déclencher un combat contre Tamlin. Certes il fait des choses bien en améliorant ses conditions de captivité et en la sauvant lors de la deuxième épreuve, mais ça n’efface pas tout le reste. S’il n’y avait pas de romance entre Feyre et lui, aucun lecteur ne serait prêt à pardonner un tel comportement…
Difficile également de donner mon avis sur ce livre sans évoquer la fameuse malédiction de la Cour du Printemps. Le fait qu’Amarantha propose à Feyre de passer des épreuves pour lever cette malédiction n’est pas franchement cohérent avec son personnage, sans oublier l’énorme échappatoire qu’est l’énigme. A part la première épreuve, où la manière dont s’en sort Feyre ne m’a pas convaincue, les autres ne sont pas assez « impossibles ». Pourquoi seulement une question lors de la deuxième épreuve, et rien que trois réponses ? Pourquoi uniquement trois innocents lors de la dernière épreuve, alors que la Cour du Printemps regorge de Fae sacrifiables ? Si en quelques minutes je peux imaginer des épreuves bien pires, alors Amarantha, après plusieurs siècles de pur sadisme, devrait en être capable aussi.
La Cour du Printemps manque quelque peu de personnages, seulement trois sont nommés, quatre en comptant le regretté Andras. J’ai également du mal à comprendre pourquoi les Fae mentionnent dans leurs prières « an immortal land of milk and honey ». Les gars, vous êtes déjà immortels.
Bref, je ne sais pas si Lucien et ma curiosité naturelle parviendront à me convaincre de lire la suite de la série.
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Ce livre m'a laissé un goût amer. J'en ai entendu beaucoup de bien dans tous les retours que j'ai vu. J'ai voulu me faire mon propre opinion avec de grandes attentes. Je pense tout simplement que ce genre littéraire n'est pas du tout fait pour moi.
Les histoires de fae et de demoiselles en détresse niaises. Je n'ai pas du trouver l'histoire crédible...
J'ai abandonné le livre au bout de 150 pages. J'ai mis 2 NaN parce que je ne pense pas qu'il soit mauvais mais juste qu'il n'était pas pour moi.
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J’ai enfin découvert la série ACOTAR et j’adore !
Je dois dire que j’ai trouvé la première partie du roman assez introductive et lente et je n’ai pas compris pourquoi tout le monde parlait de cette saga.
J’ai enfin compris dès la deuxième partie qui est vraiment prenante et pleine d’action !
J’ai hâte de découvrir ce que nous réserve les prochains tomes !!
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