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Coup de ❤ pour ce premier tome !
J'ai été totalement emporté par l'univers créé par l'auteure ! Eden Island vs le reste du monde, Eden Island ou l'île parfaite ! L'île de tout les possibles, où toutes les inventions sont fascinantes (mais également terrifiantes).
Dans ce roman, on retrouve des personnages principaux attachants et justes, qui vont savoir évoluer au fil des pages et lier une réelle amitié/amour pour s'en sortir car évidemment tout ne va pas se passer au mieux... Sous la surface de cette vie idéale se cachent des dirigeants avec de lourd secrets dont nos 4 ados vont se retrouver en plein cœur.
L'auteure aborde des sujets comme l'écologie, l'immigration, les classes sociales, l'évolution des technologies mais à quel prix ?!
Le rythme est assez lent au début mais nous emporte par la suite dans une succession de péripéties qui nous tiennent en haleine...
En bref, une écriture fluide, un univers parfaitement développé, des personnages liés mais aux caractères variés, des embûches qui augmentent crescendo au fil des pages, et une fin 😱 : ❤ !
Vous l'avez compris, j'ai hâte de retrouver Analia, Aylan et les autres dans les tomes 2!
J'ai été totalement emporté par l'univers créé par l'auteure ! Eden Island vs le reste du monde, Eden Island ou l'île parfaite ! L'île de tout les possibles, où toutes les inventions sont fascinantes (mais également terrifiantes).
Dans ce roman, on retrouve des personnages principaux attachants et justes, qui vont savoir évoluer au fil des pages et lier une réelle amitié/amour pour s'en sortir car évidemment tout ne va pas se passer au mieux... Sous la surface de cette vie idéale se cachent des dirigeants avec de lourd secrets dont nos 4 ados vont se retrouver en plein cœur.
L'auteure aborde des sujets comme l'écologie, l'immigration, les classes sociales, l'évolution des technologies mais à quel prix ?!
Le rythme est assez lent au début mais nous emporte par la suite dans une succession de péripéties qui nous tiennent en haleine...
En bref, une écriture fluide, un univers parfaitement développé, des personnages liés mais aux caractères variés, des embûches qui augmentent crescendo au fil des pages, et une fin 😱 : ❤ !
Vous l'avez compris, j'ai hâte de retrouver Analia, Aylan et les autres dans les tomes 2!
Hello, hello !
Nouvelle chronique Inceptionelle aujourd'hui avec le grand retour d'Elyna E.C ! C'est avec elle que j'ai commencé mes chroniques chez Inceptio, donc ça fait toujours super plaisir de retrouver sa plume avec un tout nouveau roman, qui sort aujourd'hui même.
Après un grand cataclysme environnemental et sanitaire, l'espèce humaine se retrouve contrainte de vivre en cohabitation dans des cités protégées, avec son plus grand prédateur, les Nantyss, une espèce extraterrestre qui se nourrit du "souffle", du temps de vie des hommes.
Erin, une jeune femme qui vivait à l'extérieur du mur, se retrouve du jour au lendemain conduite dans l'une de ces cités par Kerrick, un traqueur spécialisé dans les personnes dans son cas, victimes d'un accident insolite. Après avoir contracté un virus supposément mortel, elle s'est transformée en Nantyss, suite à une mutation rare. Contrainte de s'adapter à sa nouvelle vie, elle va se retrouver en cohabitation avec deux jeunes gens étant passés par la même épreuve qu'elle.
Malheureusement, elle va aussi devoir se rendre à l'évidence : la tolérance et l'égalité imposée entre Nantyss et humains dans cette société aseptisée sont loin d'être parfaites. Erin va l'apprendre à ses dépens en suivant des cours imposés de cohabitation bienveillante, qui vont s'avérer bien plus dangereux que prévu. Erin pourra-t-elle s'accepter complètement ? Ou le contexte politique complexe finira-t-il par la rattraper elle-aussi ?
Nous nous trouvons donc dans une dystopie qui parle majoritairement de la tolérance. Deux peuples vivent en communion : les Nantyss, une espèce extraterrestre quasi immortelle qui après avoir semé la terreur quelques années en se nourrissant des hommes, a été réduit à l'état domestique grâce à un dispositif mécanique capable de les paralyser, et les humains, qui retrouvent peu à peu le contrôle sur leurs terres.
L'intrigue se trouve à un point de bascule. En apparence, la cohabitation est harmonieuse, chacun aidant l'autre en échangeant un peu de sang, ce qui nourrit les Nantyss et assure un moyen de combattre le virus chez les humains. Mais dans les faits, on se rend quand même rapidement compte que les humains ont bien plus la main sur la situation que les extraterrestres, contraints à un pacte qui les empêche de se défendre en cas d'attaque humaine.
La tolérance prônée par les premiers accords entre les deux peuples est fragilisée, d'une part par la haine que se portent beaucoup de membres des deux camps, mais aussi par l'apparition de nouvelles mutations qu'on va rencontrer tout au long de l'histoire et qui montrent que le contexte sanitaire et environnemental n'est en réalité pas si maîtrisé que ça. En plus de ça, des groupes de rébellions naissent de part et d'autre, compromettant la sécurité des lieux.
L'intrigue va-t-elle pencher en faveur des humains ou des Nantyss ? C'est tout l'intérêt de lire ce livre, et jusqu'au bout de ce premier tome, il est très difficile de le savoir !
J'ai passé un super moment de lecture. J'ai beaucoup accroché avec le personnage d'Erin, qu'on suit presque tout au long du roman. Devenir Nantyss quand ton esprit est encore humain peut s'avérer plus complexe que prévu, et on va suivre la lente adaptation de la jeune femme à son nouveau quotidien. Ce point de vue est intéressant puisqu'on assiste à une bascule entre son attachement à l'humanité qui la caractérisait, et la découverte de ce nouveau peuple auquel elle s'identifie de plus en plus à mesure que l'intrigue avance. Ainsi, Erin devient un miroir des pensées du lecteur. Il n'est pas aussi facile de savoir quel camp détient la vérité, et tout comme Erin, ça va être à vous de juger qui des humains ou des Nantyss a le plus de torts dans cette histoire.
Bon, la fin fait quand même vachement pencher la balance, on va pas se mentir mdr. Je suis restée un peu bouche bée pendant tout le dernier chapitre tellement l'intrigue prend un virage inattendu après quelques chapitres plutôt calmes. Mais bon, il faut s'y attendre, c'est une des caractéristiques du style de l'autrice, déjà dans Les Arcanes d'Héméra.
Les autres personnages sont également très attachants, et plus complexes qu'ils n'en ont l'air. J'ai beaucoup aimé le personnage de Kerrick, qui bien que toujours très mystérieux, est très intéressant dans ses choix de moralité. Il y a aussi June et Tuomas, qui recueillent Erin lorsqu'elle arrive dans la cité, et qui seront des appuis vraiment très chouettes, même si eux aussi cachent quelques secrets intéressants. Il y a aussi tout un panel de personnages gris, dont on ne sait trop encore s'ils sont alliés ou ennemis, et que j'ai hâte de voir développés dans le prochain tome de l'histoire.
Car oui, c'est un premier tome ! Et vu comment celui-là s'est terminé, ça va être difficile d'attendre le suivant ahah. Je n'ai pas du tout vu ma lecture passer, on est très vite pris dans l'intrigue et il y a de très nombreux rebondissements qui vous empêchent de reposer le livre.
C'est un énorme coup de cœur que je vous recommande chaudement, et, pour ma part, j'ai très très hâte de me lancer sur la suite !
Nouvelle chronique Inceptionelle aujourd'hui avec le grand retour d'Elyna E.C ! C'est avec elle que j'ai commencé mes chroniques chez Inceptio, donc ça fait toujours super plaisir de retrouver sa plume avec un tout nouveau roman, qui sort aujourd'hui même.
Après un grand cataclysme environnemental et sanitaire, l'espèce humaine se retrouve contrainte de vivre en cohabitation dans des cités protégées, avec son plus grand prédateur, les Nantyss, une espèce extraterrestre qui se nourrit du "souffle", du temps de vie des hommes.
Erin, une jeune femme qui vivait à l'extérieur du mur, se retrouve du jour au lendemain conduite dans l'une de ces cités par Kerrick, un traqueur spécialisé dans les personnes dans son cas, victimes d'un accident insolite. Après avoir contracté un virus supposément mortel, elle s'est transformée en Nantyss, suite à une mutation rare. Contrainte de s'adapter à sa nouvelle vie, elle va se retrouver en cohabitation avec deux jeunes gens étant passés par la même épreuve qu'elle.
Malheureusement, elle va aussi devoir se rendre à l'évidence : la tolérance et l'égalité imposée entre Nantyss et humains dans cette société aseptisée sont loin d'être parfaites. Erin va l'apprendre à ses dépens en suivant des cours imposés de cohabitation bienveillante, qui vont s'avérer bien plus dangereux que prévu. Erin pourra-t-elle s'accepter complètement ? Ou le contexte politique complexe finira-t-il par la rattraper elle-aussi ?
Nous nous trouvons donc dans une dystopie qui parle majoritairement de la tolérance. Deux peuples vivent en communion : les Nantyss, une espèce extraterrestre quasi immortelle qui après avoir semé la terreur quelques années en se nourrissant des hommes, a été réduit à l'état domestique grâce à un dispositif mécanique capable de les paralyser, et les humains, qui retrouvent peu à peu le contrôle sur leurs terres.
L'intrigue se trouve à un point de bascule. En apparence, la cohabitation est harmonieuse, chacun aidant l'autre en échangeant un peu de sang, ce qui nourrit les Nantyss et assure un moyen de combattre le virus chez les humains. Mais dans les faits, on se rend quand même rapidement compte que les humains ont bien plus la main sur la situation que les extraterrestres, contraints à un pacte qui les empêche de se défendre en cas d'attaque humaine.
La tolérance prônée par les premiers accords entre les deux peuples est fragilisée, d'une part par la haine que se portent beaucoup de membres des deux camps, mais aussi par l'apparition de nouvelles mutations qu'on va rencontrer tout au long de l'histoire et qui montrent que le contexte sanitaire et environnemental n'est en réalité pas si maîtrisé que ça. En plus de ça, des groupes de rébellions naissent de part et d'autre, compromettant la sécurité des lieux.
L'intrigue va-t-elle pencher en faveur des humains ou des Nantyss ? C'est tout l'intérêt de lire ce livre, et jusqu'au bout de ce premier tome, il est très difficile de le savoir !
J'ai passé un super moment de lecture. J'ai beaucoup accroché avec le personnage d'Erin, qu'on suit presque tout au long du roman. Devenir Nantyss quand ton esprit est encore humain peut s'avérer plus complexe que prévu, et on va suivre la lente adaptation de la jeune femme à son nouveau quotidien. Ce point de vue est intéressant puisqu'on assiste à une bascule entre son attachement à l'humanité qui la caractérisait, et la découverte de ce nouveau peuple auquel elle s'identifie de plus en plus à mesure que l'intrigue avance. Ainsi, Erin devient un miroir des pensées du lecteur. Il n'est pas aussi facile de savoir quel camp détient la vérité, et tout comme Erin, ça va être à vous de juger qui des humains ou des Nantyss a le plus de torts dans cette histoire.
Bon, la fin fait quand même vachement pencher la balance, on va pas se mentir mdr. Je suis restée un peu bouche bée pendant tout le dernier chapitre tellement l'intrigue prend un virage inattendu après quelques chapitres plutôt calmes. Mais bon, il faut s'y attendre, c'est une des caractéristiques du style de l'autrice, déjà dans Les Arcanes d'Héméra.
Les autres personnages sont également très attachants, et plus complexes qu'ils n'en ont l'air. J'ai beaucoup aimé le personnage de Kerrick, qui bien que toujours très mystérieux, est très intéressant dans ses choix de moralité. Il y a aussi June et Tuomas, qui recueillent Erin lorsqu'elle arrive dans la cité, et qui seront des appuis vraiment très chouettes, même si eux aussi cachent quelques secrets intéressants. Il y a aussi tout un panel de personnages gris, dont on ne sait trop encore s'ils sont alliés ou ennemis, et que j'ai hâte de voir développés dans le prochain tome de l'histoire.
Car oui, c'est un premier tome ! Et vu comment celui-là s'est terminé, ça va être difficile d'attendre le suivant ahah. Je n'ai pas du tout vu ma lecture passer, on est très vite pris dans l'intrigue et il y a de très nombreux rebondissements qui vous empêchent de reposer le livre.
C'est un énorme coup de cœur que je vous recommande chaudement, et, pour ma part, j'ai très très hâte de me lancer sur la suite !
Ce livre m’a fait passer un très bon moment ; pourtant au départ je n’aurais pas parié là-dessus.
1984, île de Ré. Lison quitte son compagnon et se réfugie chez un « copain ». Ça ressemble à une romance pendant quelques pages, mais ce serait mal connaître l’auteur. Parce que lorsque cette partie se termine, Lison est accusée de meurtre…
L’auteur nous plante là et nous emmène en 1987, en Grèce, pour y rencontrer un marin pêcheur muet…
Donc oui, un départ plutôt étrange, qui parait presque décousu. Je me suis demandée plusieurs fois où j’étais tombée, vers quoi je me dirigeais. J’étais un peu dans le flou, mais intriguée.
Ça s’éclaircit lorsque nous partons au Brésil faire la connaissance d’une jeune femme ambitieuse, prête à beaucoup de choses pour « réussir » …
Là, j’ai su que ce serait une très bonne lecture, parce que je n’en étais pas vraiment certaine jusqu’ici. Tout commence à s’imbriquer, s’expliquer et dès lors c’est fichu pour le lecteur. Je devais savoir, comprendre. Alors je suis allée de plus en plus loin, pour arriver jusqu’au final que je n’avais pas vu venir.
En fait, c’est très bien fait. Machiavélique et tortueux, mais je n’en attendais pas moins de l’auteur. Encore une fois, il a su me captiver, me retenir sur son intrigue malgré un départ qui ferait presque douter du genre du livre. Je me posais des questions, qui ? pourquoi ? Quel rapport ? Parce qu’on sait pertinemment que tout est lié, mais reste à savoir comment. Et ce qui va en découler.
Au final j’ai trouvé une intrigue bien pensée, bien élaborée, avec un départ quelque peu atypique pour un thriller. Du rythme, de l’action et du mystère. Des personnages bien dépeints et fouillés. S’y attacher est peut-être un grand mot, mais ils sont intéressants et donnent envie de les découvrir, d’avancer. Un moment de lecture fort agréable et sans réel temps mort, avec une fin quasi impossible à découvrir. Que demander de plus ?
1984, île de Ré. Lison quitte son compagnon et se réfugie chez un « copain ». Ça ressemble à une romance pendant quelques pages, mais ce serait mal connaître l’auteur. Parce que lorsque cette partie se termine, Lison est accusée de meurtre…
L’auteur nous plante là et nous emmène en 1987, en Grèce, pour y rencontrer un marin pêcheur muet…
Donc oui, un départ plutôt étrange, qui parait presque décousu. Je me suis demandée plusieurs fois où j’étais tombée, vers quoi je me dirigeais. J’étais un peu dans le flou, mais intriguée.
Ça s’éclaircit lorsque nous partons au Brésil faire la connaissance d’une jeune femme ambitieuse, prête à beaucoup de choses pour « réussir » …
Là, j’ai su que ce serait une très bonne lecture, parce que je n’en étais pas vraiment certaine jusqu’ici. Tout commence à s’imbriquer, s’expliquer et dès lors c’est fichu pour le lecteur. Je devais savoir, comprendre. Alors je suis allée de plus en plus loin, pour arriver jusqu’au final que je n’avais pas vu venir.
En fait, c’est très bien fait. Machiavélique et tortueux, mais je n’en attendais pas moins de l’auteur. Encore une fois, il a su me captiver, me retenir sur son intrigue malgré un départ qui ferait presque douter du genre du livre. Je me posais des questions, qui ? pourquoi ? Quel rapport ? Parce qu’on sait pertinemment que tout est lié, mais reste à savoir comment. Et ce qui va en découler.
Au final j’ai trouvé une intrigue bien pensée, bien élaborée, avec un départ quelque peu atypique pour un thriller. Du rythme, de l’action et du mystère. Des personnages bien dépeints et fouillés. S’y attacher est peut-être un grand mot, mais ils sont intéressants et donnent envie de les découvrir, d’avancer. Un moment de lecture fort agréable et sans réel temps mort, avec une fin quasi impossible à découvrir. Que demander de plus ?
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