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Aujourd'hui, je vous propose de découvrir ma chronique de "Deaf" écrit par Joseph Kochmann.
Alors, avant de commencer, nous allons poser les bases de cette lecture.
Cette petite introduction avant de la chronique est nécessaire je pense.
Deaf est le troisième volet d'une trilogie intitulée "Les Singes de la Bêtise".
Vous pouvez d'ailleurs la découvrir sur Amazon
Trilogie que je ne connaissais pas du tout, tout comme son auteur d'ailleurs, mais avouez que découvrir un univers par la fin est assez original (suicidaire?) même si l'auteur indique parfaitement que ce tome peut être lu de façon seule, sans avoir à connaître et avoir lu les deux tomes précédents.
Mais là, quand même, nous sommes dans un domaine bien bien différent de ce que je lis habituellement, et, même si je vous propose des lectures plus ouvertes depuis que j'ai ouvert ce blog, j'avoue que là, on est parti loin.
Nous voici donc dans de la fantaisie, dark fantaisie (et c'est peu dire!), horreur et psychologique.
Bref, j'ai accepté ce Service de Presse non pas par challenge, mais bien parce que cela sort de ma zone de confort littéraire et je sais que ces lectures, même si elles peuvent me déranger et m'égratigner, me permettent de découvrir des univers différents, des auteurs inconnus mais talentueux et des écritures différentes, et c'est l'un des éléments les plus magnifiques de la lecture.
Eh bien, vous savez quoi, j'ai été servi!
Et pas qu'un peu!
On se retrouve plongé dans un monde entouré d'un énorme mur où l'atmosphère est aussi sombre que les cœurs des humains, royaume dirigé par le tyran Deaf.
Mais comme dans chaque tyrannie il y a rébellion et on se retrouve avec des personnages bien posés et définis, mais à qui il arrive des choses vraiment incroyables et, le moins que l'on puisse dire c'est que l'imagination de l'auteur est débordante.
Je ne peux donner de spoilers, c'est la ligne de conduite de ce blog, mais sachez que, si les bases semblent être vues et revues, vous ne vous attendez pas du tout à ce que vous allez lire.
Vous êtes même très loin du compte, car Deaf est vraiment une œuvre à part, qui va loin et qui peut, sur certains points, déranger voire ne pas plaire.
Il y a de la violence et de l'horreur, par exemple, qui peuvent déranger parfois.
Mais, en dehors des thèmes et des évènements du livre parfois très sombres, je dois souligner de manière positive l'écriture en elle-même.
L'auteur l'a peaufinée, cela se voit, c'est bien écrit et les détails sont là pour bien préciser les choses.
On le sent: rien n'est laissé au hasard et c'est fort car cela rend l'histoire et le livre parfois précis et puissant, mais aussi parfois plus dur encore.
Le monde de Deaf à la fois terrifiant et fascinant et l'intrigue, complexe et mais parfaitement ficelée, ne laisse aucun répit au lecteur.
C'est intense et hors du commun, complexe mais bien construit.
Si je devais trouver des aspects négatifs, je pourrais citer le principal point faible selon moi: les dialogues, dont j'ai trouvé la qualité bien en deçà de tout le reste.
J'aurai presque préféré, parfois, que les dialogues soient racontés plutôt que vécus.
La couverture présentée, que je n'ai pas retenue, est également moins bien et mets moins en valeur je trouve l'univers de l’œuvre. J'ai donc choisi celle présentée sur Amazon.
Quant à la violence parfois féroce et gratuite, je ne la mets pas en négative, ni en positive d'ailleurs.
J'estime que c'est une œuvre et que, au final, pourquoi pas.
J'ai toujours été très distant et ne m'insurge pas pour cela.
Je sais par contre que cette noirceur et cette violence peut en choquer et doit très certainement se retrouver dans les retours de lecture.
Au final, c'est un roman qui ne laissera pas indifférent, c'est impossible.
Je l'ai trouvé riche et captivant, parfois dur dans une violence gratuite et un univers très sombre, mais qui, j'en suis sûr, est voulue par l'auteur tant tout est posé et écrit au millimètre.
On ne peut que féliciter l'auteur pour ce tour de force de faire tout coïncider à merveille et de nous permettre une lecture aussi surprenante qu'agréable.
Pour ma part, c'est un très bon roman, qui interpelle, qui dérange mais qui jamais ne laisse indifférent.
Un roman singulier d'un type que l'on ne lit pas tous les jours.
Je lui mets la note de 17/20
J'espère avoir la chance de pouvoir lire un jour toute la trilogie (au format papier par contre), je suis sûr que cela ne pourra que me surprendre encore davantage.
Si un jour j'y arrive, j'en ferai également des chroniques :)
Je remercie Joseph Kochmann pour le Service de Presse et pour sa confiance!
Merci pour cette lecture bien différente mais au combien enrichissante!
>> Vous pouvez découvrir ma chronique sur mon blog littéraire en cliquant sur le lien suivant:
Lien : https://www.patrickjamesnc.c..
Alors, avant de commencer, nous allons poser les bases de cette lecture.
Cette petite introduction avant de la chronique est nécessaire je pense.
Deaf est le troisième volet d'une trilogie intitulée "Les Singes de la Bêtise".
Vous pouvez d'ailleurs la découvrir sur Amazon
Trilogie que je ne connaissais pas du tout, tout comme son auteur d'ailleurs, mais avouez que découvrir un univers par la fin est assez original (suicidaire?) même si l'auteur indique parfaitement que ce tome peut être lu de façon seule, sans avoir à connaître et avoir lu les deux tomes précédents.
Mais là, quand même, nous sommes dans un domaine bien bien différent de ce que je lis habituellement, et, même si je vous propose des lectures plus ouvertes depuis que j'ai ouvert ce blog, j'avoue que là, on est parti loin.
Nous voici donc dans de la fantaisie, dark fantaisie (et c'est peu dire!), horreur et psychologique.
Bref, j'ai accepté ce Service de Presse non pas par challenge, mais bien parce que cela sort de ma zone de confort littéraire et je sais que ces lectures, même si elles peuvent me déranger et m'égratigner, me permettent de découvrir des univers différents, des auteurs inconnus mais talentueux et des écritures différentes, et c'est l'un des éléments les plus magnifiques de la lecture.
Eh bien, vous savez quoi, j'ai été servi!
Et pas qu'un peu!
On se retrouve plongé dans un monde entouré d'un énorme mur où l'atmosphère est aussi sombre que les cœurs des humains, royaume dirigé par le tyran Deaf.
Mais comme dans chaque tyrannie il y a rébellion et on se retrouve avec des personnages bien posés et définis, mais à qui il arrive des choses vraiment incroyables et, le moins que l'on puisse dire c'est que l'imagination de l'auteur est débordante.
Je ne peux donner de spoilers, c'est la ligne de conduite de ce blog, mais sachez que, si les bases semblent être vues et revues, vous ne vous attendez pas du tout à ce que vous allez lire.
Vous êtes même très loin du compte, car Deaf est vraiment une œuvre à part, qui va loin et qui peut, sur certains points, déranger voire ne pas plaire.
Il y a de la violence et de l'horreur, par exemple, qui peuvent déranger parfois.
Mais, en dehors des thèmes et des évènements du livre parfois très sombres, je dois souligner de manière positive l'écriture en elle-même.
L'auteur l'a peaufinée, cela se voit, c'est bien écrit et les détails sont là pour bien préciser les choses.
On le sent: rien n'est laissé au hasard et c'est fort car cela rend l'histoire et le livre parfois précis et puissant, mais aussi parfois plus dur encore.
Le monde de Deaf à la fois terrifiant et fascinant et l'intrigue, complexe et mais parfaitement ficelée, ne laisse aucun répit au lecteur.
C'est intense et hors du commun, complexe mais bien construit.
Si je devais trouver des aspects négatifs, je pourrais citer le principal point faible selon moi: les dialogues, dont j'ai trouvé la qualité bien en deçà de tout le reste.
J'aurai presque préféré, parfois, que les dialogues soient racontés plutôt que vécus.
La couverture présentée, que je n'ai pas retenue, est également moins bien et mets moins en valeur je trouve l'univers de l’œuvre. J'ai donc choisi celle présentée sur Amazon.
Quant à la violence parfois féroce et gratuite, je ne la mets pas en négative, ni en positive d'ailleurs.
J'estime que c'est une œuvre et que, au final, pourquoi pas.
J'ai toujours été très distant et ne m'insurge pas pour cela.
Je sais par contre que cette noirceur et cette violence peut en choquer et doit très certainement se retrouver dans les retours de lecture.
Au final, c'est un roman qui ne laissera pas indifférent, c'est impossible.
Je l'ai trouvé riche et captivant, parfois dur dans une violence gratuite et un univers très sombre, mais qui, j'en suis sûr, est voulue par l'auteur tant tout est posé et écrit au millimètre.
On ne peut que féliciter l'auteur pour ce tour de force de faire tout coïncider à merveille et de nous permettre une lecture aussi surprenante qu'agréable.
Pour ma part, c'est un très bon roman, qui interpelle, qui dérange mais qui jamais ne laisse indifférent.
Un roman singulier d'un type que l'on ne lit pas tous les jours.
Je lui mets la note de 17/20
J'espère avoir la chance de pouvoir lire un jour toute la trilogie (au format papier par contre), je suis sûr que cela ne pourra que me surprendre encore davantage.
Si un jour j'y arrive, j'en ferai également des chroniques :)
Je remercie Joseph Kochmann pour le Service de Presse et pour sa confiance!
Merci pour cette lecture bien différente mais au combien enrichissante!
>> Vous pouvez découvrir ma chronique sur mon blog littéraire en cliquant sur le lien suivant:
Lien : https://www.patrickjamesnc.c..