Goethe, précurseur du romantisme, ne m'avait pas touchée à l'époque (au temps du lycée) comme un Stendhal ou un Flaubert, malgré une langue belle et un romantisme exalté.
Heureusement que le roman était très court, car je m'étais agacée à la longue de cette profusion de sentiments, de ces débordements lyriques ainsi que des atternoiements larmoyants qui regorgent dans cette oeuvre. (niveau 2nde)
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