Au début j’étais emballée : une histoire qui mêle jeux vidéos et culture autochtone ? Encore mieux, un récit qui traite aussi du sort des Oïghours et qui laisse une grande part à l’action ? Ma curiosité était piquée… et j’ai beaucoup aimé les deux-cents premières pages. Après, ce n’est pas que ça devient moins bon, l’auteur continue à alterner entre le réel et le virtuel, il fait monter la tension entre les groupes, creusent aussi la psychologie, mais ça devient un peu long, comme si le souffle s’épuisait.
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