Nouvelles Editions Bordessoules [corriger]

C'est une sorte de biographie du Bernin mais écrite bien des siècles après par un professeur de Lettres Classique. J'ai eu du mal à rentrer dedans, le côté "première personne" qui fait parler le Bernin comme si c'était lui l'auteur, et le côté "imaginaire" alors que quand ça parle d'histoire de l'art j'aime bien quand c'est authentique. Je pense qu'il faut le prendre plutôt comme un roman (ce qu'il est !), avec des éléments réels (le Bernin, les papes qu'il a connu, etc.) et d'autres fictifs. Comme j'apprécie l'art et qu'il y a quelques semaines j'étais à Rome (lieu où se déroule ce roman), c'était quand même plaisant. Par contre j'ai trouvé que par moment c'était (trop ?) orienté "plaisir de la chair".

Au final ça se lis bien mais ce n'est pas LE roman que je vais retenir pendant longtemps.

Tu verra toi qui aime l'histoire se livre va te plaire. Quel préambule sympathique au moment ou l'ont ma donner se livre à lire.

Mais bon déjà c'est de l'histoire de l'art et non de l'histoire classique se qui m'a un peu freiner dans la lecture de se livre compte, mais bon la curiosité l'important je me suis lancé dans la lecture de se ... livre



Déjà premier gros point noir : le livre est écrit version autobiographie par un mec né plusieurs siècles après la mort du Bernin, et je ne comprend pas pourquoi avoir fait une autobiographie fictive plutôt qu'une biographie, car le fait de l'écrire de cette façon à rendu le côté historique de l'œuvre complètement biaiser et sans intérêt puisque rien n'est fiable. N'étant déjà pas un amateur de style littéraire, si en plus l'autobiographie est sans aucune vérité historique, autant lire du Tolkien.



Enfin bon soit, une fois lancer dans le livre on apprend donc la vision de l'auteur de la vie du Bernin (grand sculpteur de la renaissance) de ses début jusqu'à... jusqu'à un point au hasard de ç vie...

Et c'est la que le bas blesse, tout n'est que partie pris d'une personne lambda dans se roman que se soit vis-à-vis des pensées du Bernin, ou du ressentie de ses contemporains, et l'histoire la dedans n'est qu'une question de nom, et de papes qui change toutes les 40 pages sans que le rapport au temps n'est été modifié dans le livre. En effet du début du chapitre jusqu'à la fin du chapitre on à parfois la succession de trois papes sans qu'aucune notion de temps n'est été aborder rendant le livre d'autant plus dur à lire. On avance et recule dans l'histoire sans aucun avertissement ...

Le style littéraire quand à lui est lourd, pompeux sans subtilité, compliquant d'autant plus la lecture, lui coupant toute fluidité, et donnant juste envie de sauter les passages trop laborieux.



Après la vie du Bernin au final à à la fin du livre on en sais autant qu'au début, on sais juste qui était amis avec certain cardinaux et pape, et pas avec d'autre... On a quelque nom d'œuvres plus ou moins connu, et beaucoup de supposition sur son ressenties...

Le seul point positif et le léger abord que l'auteur de la vie des artistes à cette périodes, que se soit dans leur condition ou dans les meurs plutôt puritain de l'époque.



En conclusion se livre ne présente aucun intérêt que ce soit pour les amateurs d'art ou d'histoire... après peut être que je suis passer complétement à côté de se qu'as voulu dire Mr Aubry dans son roman mais si ce n'est pas le cas ce dernier aurais peut être du revoir ça prétention et rester professeur de lettre classique (ce qui aurait été plus utile pour mon orthographe vous en conviendrez...)