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Editions 12 bis [corriger]

12 bis est une maison d`édition française qui a été fondée en 2008 et qui a fait partie du paysage éditorial jusqu`à son intégration dans le groupe Glénat en 2012. Spécialisée initialement dans la bande dessinée, 12 bis a élargi son catalogue pour inclure des romans graphiques, des mangas et même des livres illustrés. La maison s`est distinguée par la publication d`œuvres de genres variés, allant du polar au fantastique, en passant par l`humour et l`histoire, cherchant à toucher un large public. 12 bis a également mis en avant des auteurs à la fois établis et émergents, français comme internationaux, contribuant ainsi à une diversité de voix et de styles dans le paysage de la bande dessinée francophone.

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Dernières critiques
Ils étaient dix, tome 2 : Novgora

Je continue la série, le deuxième tome est intéressant, mais je l’ai trouvé moins attrayant….

Peut-être le récit, long... comme si on attendait la suite.

En faite, c’est cela le problème on sait qu’il y a une suite donc on sait qu’au moins le personnage principal va s’en sortir…

Et donc il n’en reste plus qu’un et il compte se venger…



Bonne lecture !
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Moi, 20 ans, diplomée, motivée... Exploitée !

Je n'ai pas dû écumer les stages et les missions en intérim car je suis entrée des le début de ma carrière dans la boîte où je travaille toujours.

Mais je vois tous ces jeunes qui ont entre 20 et 25 ans et qui ne décrochent que ce genre de postes avec comme réponses perpétuelle : "On embauche pas".

La situation des jeunes diplômés ne cesse de se dégrader : "Pas assez d'expérience", "Trop qualifiés", "Pas assez qualifiés", "Pas de budget pour des embauches"... Tout un tas d'excuses qui mènent toutes au même résultat : La précarité.

Les stagiaires sont les plus mal lotis : mal payés, ils sont exploités mais n'osent pas protester de peur de perdre leur stage ou de se "griller" dans la profession.

Selon le secteur d'activité, l'exploitation peut aller très loin (journée se finissant après minuit, travail le dimanche sans compensation...)

La BD peut sembler forcer le trait, exagérer ce que vivent les jeunes diplômés, mais, malheureusement, je pense qu'il n'en est rien, au moins pour une partie d'entre eux.

Avec la destruction, chaque jour un peu plus, du code du travail, ce genre de situation ne peut que s'aggraver puisque l'employé a de moins en moins de droits, l'employeur de plus en plus de pouvoirs et les instances supposées protéger le premier contre le second (médecin du travail, inspection du travail, prud'hommes...) de moins en moins de moyens pour agir.

Comme on dit : "Je sais pas où on va, mais on y va!"

Probablement droit dans le mur.
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