Le Café Littéraire

Morphil  Merci pour l'appréciation et belle journée !

ckathy  Qu'est-ce que c'est drôle et bien imaginé. 
Moi aussi j'aimerais bien connaître le résultat de cet arrosage un rien particulier.


Que le chiens ressuscitent,  super génial.
Que le cambrioleur revienne à la vie ou sous forme de zombie, effrayant mais ....
A moins que tous ces défunts ne soient à jamais emberlificotés dans des cheveux, des masses énormes de cheveux.

Très belle et pourtant un peu triste histoire Carolina78 . Et mille mercis pour la version de "la cucaracha" que j'ai chanté tant de fois (avec "la bamba").
Émouvante et drôle dans un pays qui ne l'est pas toujours, j'ai passé un agréable moment de lecture.

Snoopythecat  Merci pour le commentaire chat familier du forum . Je préfère que chacun imagine la suite. Pour ma part ,j'essaierai de coucher sur le papier la chute que j'ai en tête courant juillet. bonne journée.

Permettez-moi de vous entraîner dans un monde de merveilles et de mystères, un monde où la réalité se mêle à l'imaginaire et où les frontières de l'ordinaire s'effacent. À travers les mots soigneusement tissés, je vous invite à plonger dans un récit empreint de magie et d'aventure, un récit qui éveillera votre esprit et enflammera votre imagination.Ce texte de fantasy est bien plus qu'une simple évasion dans l'imaginaire. Il explore des thèmes universels tels que le courage, l'amitié, l'amour et la lutte contre l'adversité. Il offre une réflexion sur la condition humaine et la capacité de se surpasser face aux défis qui se dressent sur notre chemin.

J'espère sincèrement que cette immersion dans mon univers de fantasy vous transportera, que vous serez émerveillés par les descriptions envoûtantes, les retournements de situation inattendus et la richesse des émotions qui traversent ces pages. Je vous remercie pour cette opportunité de partager ma passion pour l'écriture et l'univers magique de la fantasy avec vous.

Extrait du chapitre 9 de Mel Parker (un livre que j'écris actuellement) :

Le couvre-feu était largement dépassé, c'est pour cela que je me pressais de traverser le pont en pierre qui me séparait de mon dortoir. À cette heure-ci, ce n'était pas conseillé de se pavaner au clair de lune, avec le Chevalier Noir qui rôdait. Je ne pus m'empêcher de sourire face à cette pensée. Bart avait été chercher loin pour cette histoire. Mais j'avoue que c'était peut-être l'une des plus crédibles.

Un mystérieux meurtre non résolu causait de l'émoi à l'école il y a une semaine. Ça pourrait être n'importe qui, surtout les dernières années qui ont la grosse tête et qui sont surtout des psychopathes. Mais je pense plutôt aux disciples de la Duchesse Carlota... ma tante. Ses disciples, les "mas", avaient l'habitude de tuer sans raison pour qu'on ne les oublie pas, mais en cinq ans d'études dans cet établissement, je n'avais jamais vu ça. L'école avait fait le "nécessaire" pour nous maintenir en sécurité, mais si les "mas" avaient réussi à entrer, comment les empêcher de revenir ? Et peut-être qu'il y en avait encore dans l'enceinte de l'école. Je ne sais pas, mais cette histoire me paraissait si évidente et si complexe en même temps...

Alors que je terminais de traverser le pont, un buisson s'agita derrière moi. Ce n'était rien d'autre que le vent, je suppose. Ou alors le tueur qui allait s'en prendre à moi. Non, ridicule, à cause de toutes ces tragédies, je me perdais et mon inconscient prenait le dessus, ou alors c'était mon conscient qui me dirigeait ? Pourquoi étais-je si confus tout à coup ? Ce n'est rien qu'un buisson... et puis quel genre de criminel allait se cacher d'une manière si basique et burlesque dans un tas de feuilles ? Alors pourquoi une sueur froide me parcourait le corps ? Pourquoi étais-je si peureux et en perte de tout mon courage ?

Mes yeux se fermaient automatiquement... Il fallait agir. Et soudain, je compris. Je me retournai, c'est bien ce que je craignais, absolument rien ni personne derrière moi. Mais je n'étais pas fou, ni parano, loin de là. Mon don de voyance me donnait parfois des visions, qui, elles, n'allaient pas tarder à venir. J'avais un pressentiment, ce n'était pas moi qui courais un danger, non c'était quelqu'un d'autre, et pour que cela soit aussi intense, c'était quelqu'un d'assez proche. Qui ? Je ne sais pas. Est-il ou est-elle encore vivant ? Probablement. Il fallait que j'agisse...

Mes jambes perdaient le contrôle et me laissèrent tomber au sol, sa y est, les visions arrivaient. Une salle de bain, la même que possédaient tout les dortoirs de l'école. Une épais longue, tranchante et noire...Une armure noir...Un chevalier...
Et si c'était vrai ? Et si Bart ne s'était pas tromper et avait eu raison depuis le début, mais comment aurait-il pu deviner si vite ?
Quelqu'un était en danger, près à mourir, poignarder par le Chevalier Noir.

Bonjour à tous, seconde participation au défi d'écriture sur Babelio pour ce dernier jour de juin. Bonne lecture à tous !


Entre réalité et fiction


Et si c'était vrai ?
Que les humains naissent libres et égaux
Que l'on mange tous à notre faim
Que 10% des plus riches ne possèdent pas 75% des richesses
Que la justice soit la même pour tous

Et si c'était vrai ?
Que la Dolorean de Marty existe pour retourner dans le passé
Que le Fuhrer n'ait jamais existé
Qu'il n'y ait aucune Guerre sur cette Terre
Que l'on vive tous en paix.

Et si c'était vrai ?
Que l'on réfléchisse par nous même
Que l'on n'ai pas besoin d'une Intelligence Artificielle
Que les machines et les robots ne prennent pas le contrôle
Qu'une Sarah ou qu'un John Connor ne soient pas nécessaires dans plusieurs siècles.

Et si c'était vrai ?
Que ce texte ne soit pas considéré comme réactionnaire
Que cette Terre voulue ne soit ni utopique ni dystopique
Que le monde de Walter Tevis ne devienne pas une réalité
Et si c'était vrai ?

tel est pris qui croyais prendre voloskine  . C'est un bien joli conte que je rapporterai à mes nains (mes petits enfants, Okay)
Pour le réchauffement climatique, je croyais que c'était les flatulences des vaches qui en étaient responsables (attention, pas les taureaux ni les bœufs bien sûr). D'ailleurs la terre se réchauffe depuis 150 ans, pas depuis la fin de würm il y a 10000 ans.
Vive la fiction ! La réalité, aujourd'hui il faut dire "la vraie vie" - doit sûrement en exister une fausse - est bien plus taupe noire.
So good

Bonjour, voici mon texte qui viennent de mon imagination, ce thème m'a beaucoup inspirée:



Chap1

Tous les ans j’attendais avec impatience le week-end littéraire qui se déroulé dans le parc albertine au mois de juin près de chez moi. Quand la date s’approchait je sentais en moi une joie que seul mon âme ne peut connaître ; comme une porte qui s’ouvre sur un monde où ma pensée vagabondent librement d’un livre à son écrivain d’un poème a son poète . Chaque année le parc faisait revivre un écrivain une personne devenait une identité littéraire et ce qui était drôle c’est qu’il nous dédicacé même les livres et se plaisait à imiter le célèbre auteur. Je regardais mes livres bien rangés en file indienne classés par écrivain parfois surtout au crépuscule ils me donnait l’impression de voler tous ensembles et j’entendais leur histoire se mélangé autour de moi et je fermée les yeux avec un livre de marcel Proust sur ma poitrine ; demain sera le jour où il reviendra lire ses livres au parc Albertine au week-end des littéraires.

Chap2

Je pars le cœur léger mais d’un pas pressé avec mon livre chanceux d’avoir été choisi pour vibrer entre les mains d’un illustre écrivain. Cela m’amuse et je me prête au jeu et même encore plus je crois vraiment que je vais le rencontré, c’est tellement impensable que cela devient une confusion avec une limite peu probable entre la réalité et la fiction. Peu importe moi j’y crois , je vais rencontré Marcel Proust, même si je dois admettre qu’il y a peu de chance de le rencontré, il n’écrit plus depuis plus de cent ans. Le lac des miroirs dans le parc reflète le silence, les arbres se racontent des histoires, l’après-midi passe lentement et je m’approche de la cabane en bois près des acacias ou l’illusion m’attends.

Chap3

Les émotions m’ envahissent, une hirondelle passe tout prés de moi, je m’approche et je le vois, il est là accomplissant les gestes e la vie de tout les jours alors que pour moi le temps s’est suspendu. Mes yeux ne me trahisse pas mais mon esprit est embrumé, je suis transporté à cette époque où j’aurai pu faire la connaissance de Marcel Proust peut être dans ce même parc ou le lac transporté la jeunesse romantique sur des barques à l’ombre des jeunes filles en fleurs
Une parfaite copie comme un double de l’écrivain se tenait devant moi, je lui tendis mon livre, le vent envola mon chapeau. Je croisais son regard, le temps s’est perdu entre les pages, je veux juste qu’il écrit un mot dans mon livre.


Chap 4
Des nuages obscurs menaçait notre rencontre il fallait se hâtés avant que la pluie ne vienne briser la magie avant que la réalité me rattrape et que je me rende compte que ce n’est pas Marcel Proust mais une personne fantastique qui peut nous faire voyager dans le temps juste par cette chimère. Trop tard la pluie s’abattît sur la cabane en bois qui ne pouvait supporté plus longtemps cette ondée ; je devais renoncer à rester plus longtemps il me tendit mon livre avec trois petite phrases écrite sur la première page mais la seule idée était de se mettre à l’abris , je me réfugie sous un saule pleureur, ses longs bras qui touchent le sol me protégeait mais il m’importait peu si j’étais toute mouillé, j’ouvre mon livre des papillons volaient emportant avec eux les lettre du prénom Marcel

Chap5

Il ne me restait plus que faire connaissance avec cette personne réelle qui recherche le temps perdu pour revivre des heures du passé ; il quitta à son tour la cabane en bois pour s’échapper de la bulle qui traverse les siècles, je vais le suivre peut-être jusqu’au lac , il longe l’allée des acacias il presse le pas, je ne pense pas qu’il va se diriger vers le lac, il s’arrête, me regarde, il comprend que je veux lui parler, il parait être hors du temps, comme une photo ancienne qui s’efface avec les souvenirs, une chanson que l’on a oublié mais que l’on entant au loin , je ne peux plus avancer, les mots que je prononce sont indescriptibles, il avança jusqu’au dernier acacia de l’allée qui même au lac du parc Albertine, et disparu comme par enchantement, il n’était plus de ce monde réel mais faisait partie du temps qui ne passe jamais, j’ouvre mon livre les trois petites phrases écrites à la première page n’existent plus, je comprends que ce n’était pas une illusion mais cela était bien arrivé, cette après-midi Marcel Proust était bel et bien au parc Albertine près de chez moi dans la cabane en bois .
Et si c’était vrai ?

Railways  On peut dire que vous avez le sens du "teaser" ! J'ai crû que l'histoire avait débuté bien avant la précision "Extrait du chapitre 9...". Cet extrait est assez frustrant, parce qu'on aimerait connaître et le début et la suite ! Belle accroche qui donne envie de poursuivre la lecture. Bon courage pour l'écriture de votre livre 👍.

nicodrummer  Vous avez raison, la liste des "Et si c'était vrai" pourrait être interminable tant il y a de choses à rectifier, modifier, revoir... C'est malheureusement sans fin 😢.


Camelia16  Très joli prénom que Camélia ! Votre histoire me rappelle le thème du voyage dans le temps avec nos admiratrices de Flaubert et Victor Hugo qui ont vécu de folles aventures avec leur idole littéraire. En l'occurrence, la vôtre se nomme Marcel Proust... On sent que vous lui vouez une véritable admiration. Et vous avez raison, si c'était vrai que ces grandes figures du passé étaient encore parmi nous 😉 !? 

Merci Morphil   contente que tu reprennes du poil de la bête – moi on m’a enlevé mon plâtre hier – il faut que je retrouve mes marques. De quel pays tu parles ? C’est un ilot de résistance au pays des esprits !

Railways  

Quel suspense ! J’espère que le chevalier noir ne va pas sévir à nouveau ! Il faut que vous nous racontiez la suite !

nicodrummer  

Et s’il suffisait d’une baguette magique pour imposer le bonheur, la fraternité, la paix sur notre planète !

Camelia16  

Ce n’est donc pas Albertine qui a disparu mais Marcel Proust ! Était-ce un rêve ?

Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. »

Navré je ne peux proposé qu'un texte pas bien peaufiné, j'essayerai de le reprendre à l'occasion...

Et si c'était vrai ?

Même tout petit, je ne croyais pas aux contes de fées. J'ignore exactement pourquoi, cela n'a simplement jamais fonctionné sur moi.
Déjà tout petit je ne croyais pas au père Noël. Comment un homme aurait-il pu transporter dans son petit traineau les cadeaux de tous les enfants de la planète, et avoir le temps de tous les livrer la même nuit ?
C'est comme pour le marchand de sable : Pourquoi se donnerait-il la peine de se déplacer chaque soir au dessus de chaque maison dans le seul but d'endormir leurs habitants ? C'était trop farfelu pour moi.
Alors je ne parle même par de ce délire des cloches de Pâques. À la rigueur, l'histoire du lièvre serait poétique, s'il ne s'était pas mis à distribuer des chocolats vendus dans les supermarchés.
De là à ne plus croire à la petite souris il n'en fallait pas beaucoup plus. Pourtant, il est bien plus vraisemblable de croire à un petit rongeur transportant une pièce en la portant sur son dos ou en la faisant rouler que toutes les autres inepties qu'on essaye de faire avaler aux enfants. Seulement, d'où vole-t-elle son argent, et que fait-elle de nos dents ?

La magie a des limites.

Et progressivement, les jours sont devenus plus ternes. C'est à peu près à cette période qu'a commencé l'âge sombre. J'ai cru que mes parents perdaient pied, se déchirant pour un oui ou pour un non. Je me suis alors mis à fêter deux Noëls en même temps, mais la magie était déjà partie depuis longtemps.

Est alors arrivé l'âge de la maturité. Je me suis mis à croire en l'amour, puis la fidélité. Grosses déceptions. Le temps a filé, et aucun Dieu ne fut là pour m'aider à affronter les difficultés.

Ce soir je suis sur mon lit de mort. Ce n'est plus qu'une histoire de temps maintenant. Ma vie est clairement derrière moi, les bons moments comme les mauvais, il ne me reste plus qu'à assister au générique de fin. Il est trop tard pour réparer les pots cassés. "Mieux vaut avoir des remords que des regrets", dit-on. Qu'est-ce que j'ai été con, tout de même. Vais-je être jugé par Jésus, Allah, Mahomet, Osiris, ou Minos et ses pairs ? Que retiendra-t-on de moi ici sur Terre ? J'ai passé ma vie à ne me préoccuper que de moi-même et de mes quelques proches, qu'est-ce que j'ai pu être égoïste ! J'aurais dû plus en profiter. Pas pour moi, mais pour aider les autres, rendre leur vie meilleure. C'est comme ça qu'on se serait souvenu de moi.
J'ai besoin de croire que je pourrais avoir une seconde chance, revenir en arrière, tout recommencer, mais en mieux. J'ai besoin d'un miracle, que mon vœu soit soudainement exaucé par quelques forces bienveillantes comme dans les films de Noël, après tout, même Scrooge a eu droit à une seconde chance.
Ma vision devient floue. Vite ! J'aperçois déjà ma défunte femme, belle comme dans nos plus beaux jours, revenue à mes côtés et qui me tient la main. Je lui souris. De l'autre côté, je vois l'infirmière, bien réelle celle-là, qui me regarde d'un air grave, sans doute n'ose-t-elle m'avouer ce que je sais déjà, que je serais parti avant le lever du jour.
Je commence à paniquer. J'ignore ce que je dois faire, je n'ai pas de mode d'emploi et ne vais certainement pas partir comme le font tant d'autres, en suppliant misérablement une quelconque force supérieure. Mais s'il le reste une chance de m'assurer les bonnes grâces de quelques esprits bienveillants, c'est le moment ou jamais. L'infirmière s'étonne de m'entendre subitement à chantonner, moi le vieux taciturne, et me borde tandis que je m'endors pour la dernière fois : « Petit papa noël, quand tu descendras du ciel, avec tes joujoux pas milliers, n'oublie pas mes petits souliers… »

Walex  Croire aux contes de fées à la dernière minute, belle idée ! On dit plutôt "Mieux vaut avoir des remords que des regrets", je crois ! ;)

Oops, je savais qu'il y aurait des erreurs, j'ai corrigé, merci !
J'ai écrit le texte sur un bloc notes de mon mobile puis l'ai publié via le navigateur (pas l'appli) ça a été la croix et la bannière, cette expression et les paroles étaient entre guillemets et avaient été simplement supprimés à la copie... j'ai réécris ça un peu trop vite apparemment ^^'

,Walex  Comment ça, la petite souris, le père Noël et les cloches de Pâques n'existent pas ? Quelle terrible révélation, j'en tremble encore. 

Je note que ce vieux monsieur, aux portes de la mort, rempli de regrets et remords, est encore bien égoïste, il espère avoir le passage du père Noël dans ses souliers, comme quoi on ne se refait pas 😊.

J'ai  l'impression que nous sommes nombreux à aimer les chats sur ce site Snoopythecat  n'en déplaise au imbéciles qui voient en eux des opportunistes et des traîtres. Je vais leur raconter ton histoire, aux deux miens s'entend, car c'est eux qui m'ont choisi. 
Et puis j'ai eu un accès de fou rire en me remémorant une réflexion d'une de mes belle-sœur à propos de mon ex épouse " ah, Mo,  c'est la mort des frigos ". Une veinarde qui peut s'empiffrer sans prendre un gramme. Fan de chocolat noir, j'évite le rayon, une tablette de 200 grammes est égale à un kilo. Pfffff.😺

Carolina78  je parle du Mexique. Je n'est fait qui passer. Les gens sont plus q'uaccueillant mais en 3 jours, j'ai aussi pu goûter à la corruption  à tous les niveaux. 
La bamba, tant  de fois reprise, aux US est à l'origine un traditionnel mexicain mais ça, tu le sait.

Morphil  Tu as raison Philippe "la cucaracha" est à la base une chanson révolutionnaire mexicaine. Nous la chantions à tue tête étant petits, sauf qu'il ne lui manquait pas de la marijuana mais "una patita", une petite jambe. Je pensais que tu faisais référence aux Chunchuneros, qui je l'espère existent quelque part et ne vont pas se faire piéger par les nuages constipés !

Je ne connais pas le Mexique. La légende dit que j'y suis allée étant bébé mais que j'y étais malade comme un chien, à cause de l'altitude !

Carolina78  il reste une poignée de Yanomanis etc... enfin des peuples de chasseurs coeuilleurs, de plus en plus rares.  À mon humble avis, il est urgent de lire les ouvrages d',Evelyne Heyer. Ce ne sont pas des plaidoyers, juste des constats et surtout que le concept de race est une simple invention au service de l'ego d'une poignée de torses bombés qui ne savent pas ce qu'est l'accueil. On a tous en nous des gènes de Néandertalisis, ce n'est pas un hasard. La curiosité n'est pas un vilain défaut.