gavarneur le 16 décembre 2017
Justement, le lierre. Premier effet : je ne couperai plus le lierre sur les chênes, et je ne l'accuserai plus d'avoir affaibli mon défunt saule. La survie d'un lierre coupé de ses racines me travaillait, j'avais du mal à y croire, je me demandais s'il ne restait pas toujours quelque tige cachée encore connectée au sol. Le lierre est-il une plante épiphyte (je fais mon savant, j'ai appris ce mot hier)? Bon, je dois relire La Hulotte, toujours un plaisir. |