Ce titre m’a été rappelé par mon séjour de deux ans et demi à Toronto au début des années 1960. Certains collègues anglophones faisaient de l’ironie en m’appelant « French-Canuck ». C’est ainsi que j’ai francisé ce terme pour en faire le titre de mon premier roman, publié à la fin de 1994, alors que se dessinait le deuxième référendum. Au départ, le titre devait être « La musique du souvenir », parce que la musique y joue un rôle indispensable. >Voir plus