L'histoire de la maison de la mosquée est loin d'être terminée, elle est comme la vie : chacun doit descendre quelque part.
Une phrase revient sans cesse à la fin de toutes les histoires perses : "Notre histoire est finie, mais la corneille n'a pas encore atteint son nid".
Si tu te sens triste, marche le long de la rivière. Parle avec la rivière. Elle emènera ta tristesse.
Traduction de: "Als je soms verdrietig bent, loop langs de rivier. Praat met de rivier. Hij neem je verdriet mee."
Ils te donnent de l'amour, et l'amour est très important pour un être humain. Mais cette maison est arriérée. Parce qu'ils craignent Dieu, ils ont aussi peur de tout : de la radio, de la télévision, de la musique, du cinéma, du théâtre, de la joie, des autres femmes, des autres hommes, ils aiment seulement les cimetières. C'est là qu'ils se sentent bien. C'est vrai, tu sais ! Tu es déjà allé avec eux dans un cimetiere. Là, ils sont tout à coup excités, joyeux, ils se sentent bien avec les morts. C'est pour ça que j'ai fui cette maison quand j'étais jeune.