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Critique de cannibalector


Une pensée assez répandue nous dit que la haine est l'antichambre de l'amour. Pour l'auteure, non: la haine mène à l'horreur.
Cette haine nous est montrée dés le prologue où deux voisines se disputent et l'une gifle l'autre.
Puis le roman remonte 7 ans auparavant où l'on assiste à la naisssance puis l'épanouissement d'une amitié forte entre deux couples mitoyens. Dans chaque foyer un garçon naît à trois mois d'intervalle et l'amitié devient fusionnelle.
Puis un drame.
Et l'amitié devient haine.

Heureusement que le prologue existe. Il place le lecteur dans un trouble et un désir de connaitre le drame qui lui permet d'avaler 150 pages d'amitié gnangnan à base d'apéro et de couches culottes. Aprés le drame toute l'intrigue repose sur " qui va péter un cable en premier?"

J'ai bien aimé ce thème de la dérive d'une amitié très fusionnelle , je ne sais plus quel auteur a dit que " les choses de l'amitié sont plus fragiles que celles de l'amour".
Mais j'ai été deçu par un style quelconque, des dialogues plats et une fin trop abrupte.

Mais je lirai la suite " aprés la fin".
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