Citations sur Derrière la haine (193)
L’amitié est une force dont nul ne peut prétendre pouvoir se passe. On a besoin d’amis, comme on a besoin de manger, de boire ou de dormir. L’amitié, c’est un peur la nourriture de l’âme : elle ravitaille le cœur, elle sustente l’esprit, elle nous comble de joie, d’espoir et de paix. Elle est la richesse d’une vie. Et le gage d’une certaine idée du bonheur.
Quand la certitude d'être à l'abri du malheur se fendille inexorablement, comme un éclat qui entraîne des fissures à l'âme que l'on tente de colmater, (…) on ferme les yeux pour ne plus voir, ne plus sentir, ne plus penser, dérisoires tentatives d'échapper au désastre par la seule force de sa volonté.
"Le malheur est un fardeau qui, à l'inverse du bonheur, ne se partage pas." (p.180)
Le malheur est un fardeau qui, à l'inverse du bonheur, ne se partage pas.
Lorsque les beaux jours reviennent après de longs mois d'hiver, c'est comme la fin d'un long tunnel sombre qui débouche en pleine lumière : l'horizon se dégage, les cœurs se réchauffent, les envies s'éveillent, et nous voilà bientôt partagés entre celles de faire mille et une choses et celles de ne rien faire du tout.
L'amitié est une force dont nul ne peut prétendre pouvoir se passer. On a besoin d'amis, comme on a besoin de manger, de boire ou de dormir. L'amitié, c'est un peu la nourriture de l'âme : elle ravitaille le coeur, elle sustente l'esprit, elle nous comble de joie, d'espoir et de paix. Elle est la richesse d'une vie. Et le gage d'une certaine idée du bonheur.
Lorsque les beaux jours reviennent après de longs mois d'hiver, c'est comme la fin d'un long tunnel sombre qui débouche en pleine lumière : l'horizon se dégage, les coeurs se réchauffent, les envies s'éveillent, et nous voilà bientôt partagés entre celles de faire mille et une choses et celles de ne rien faire du tout.
Comment trouver la force de se mouvoir sur cette terre quand l’être le plus cher l’avait désertée à tout jamais ?
Jamais la jeune femme n’avait imaginé qu’une souffrance morale fut à ce point physique.
L’amitié est une force dont nul ne peut prétendre pouvoir se passer. On a besoin d’amis comme on a besoin de manger, de boire ou de dormir. L’amitié, c’est un peu la nourriture de l’âme : elle ravitaille le coeur, elle sustente l’esprit, elle nous comble de joie, d’espoir et de paix. Elle est la richesse d’une vie. Et le gage d’une certaine idée du bonheur.
"Les retours en voiture après le repas du dimanche chez les (beaux)-parents, c'est l'engueulade assurée, le tirage de tête jusqu'au début de la soirée et la promesse que c'est la dernière fois, que la semaine prochaine, faudra pas compter sur moi ! Et puis, le dimanche suivant, on y retourne. Parce que c'est comme ça." (p.37)