Je vais bien, ne t'en fais pas, premier roman d'
Olivier Adam, se lit d'une traite (ou presque). Les mots s'enchaînent et se succèdent aussi vite que la lecture optique des codes barres du supermarché où travaille Claire. Phrases courtes et concises qui frappent directement l'esprit et qui me touchent net. Uppercut direct, touché KO, ça fait mal ! Terriblement mal parce qu'il s'agit du quotidien, parce que la douleur est devenue si intense qu'elle en détruit l'avenir
De Claire, et que cette nana, elle semble mériter bien mieux que ce qu'elle veut bien se persuader, même en l'absence de son frère.
Le roman s'achève, j'en suis remué, mais j'en redemande encore de la littérature comme ça. Directe, sans fioriture qui marque l'esprit et le coeur.
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