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Critique de Laveze
UNE MORT DANS LA FAMILLE de JAMES AGEE
La première partie de ce livre très autobiographique nous présente la famille de Rufus( James Agee) son père Jay, sa mère Mary et sa petite soeur Catherine. Autour d'eux une multitude de cousins, oncles tantes et grands parents. Un soir Jay est appelé par son frère pour l'assister auprès de leur père malade. Il doit juste faire un aller retour rapide, mais ne le voyant pas revenir Mary s'inquiète et la deuxième partie du livre débute sur l'attente de la famille du retour de Jay puis de l'annonce de sa disparition. La dernière partie du livre traite de la réaction de la famille rapprochée, mère et enfants.
Roman quasi biographique de James Agee enfant, découvrant la mort de son père et réalisant la précarité de la vie, le confrontant à la vision d'une part des croyants fervents et des athées matérialistes, devant faire face à une situation à laquelle rien ne l'avait préparé.
C'est un livre d'une grande sensibilité, on sent combien l'auteur a été boulversé par cette mort et les réactions autour de lui.
Prix Pulitzer 1958 pour ce roman, j'avais présenté il y a quelques mois cet auteur avec un livre étonnant, Louons Maintenant les Grands Hommes, reportage de son immersion avec un photographe Walker Evans, chez des métayers blancs, pauvres du Sud des États Unis. Un auteur mort à 46 ans que je vous conseille de découvrir.
La première partie de ce livre très autobiographique nous présente la famille de Rufus( James Agee) son père Jay, sa mère Mary et sa petite soeur Catherine. Autour d'eux une multitude de cousins, oncles tantes et grands parents. Un soir Jay est appelé par son frère pour l'assister auprès de leur père malade. Il doit juste faire un aller retour rapide, mais ne le voyant pas revenir Mary s'inquiète et la deuxième partie du livre débute sur l'attente de la famille du retour de Jay puis de l'annonce de sa disparition. La dernière partie du livre traite de la réaction de la famille rapprochée, mère et enfants.
Roman quasi biographique de James Agee enfant, découvrant la mort de son père et réalisant la précarité de la vie, le confrontant à la vision d'une part des croyants fervents et des athées matérialistes, devant faire face à une situation à laquelle rien ne l'avait préparé.
C'est un livre d'une grande sensibilité, on sent combien l'auteur a été boulversé par cette mort et les réactions autour de lui.
Prix Pulitzer 1958 pour ce roman, j'avais présenté il y a quelques mois cet auteur avec un livre étonnant, Louons Maintenant les Grands Hommes, reportage de son immersion avec un photographe Walker Evans, chez des métayers blancs, pauvres du Sud des États Unis. Un auteur mort à 46 ans que je vous conseille de découvrir.
