Je ne sais pas si j'irai jusqu'à dire, comme
Aragon, que cette histoire est « la plus belle histoire d'amour du monde », cependant j'ai été clairement séduite par ses personnages, et plus particulièrement par la sensibilité picturale et poétique du narrateur, jeune beau-frère de
Djamilia. Il nous immerge dans l'ambiance rurale de ce Kirghizistan du début du XXème siècle, dans son quotidien de labeur, dans ses moeurs et dans ses paysages, dans ses personnalités ; dans un amour naissant et interdit touchant de pureté – dont j'ai apprécié l'issue, que je ne caractériserai pas pour vous laisser la découvrir.
Une très belle parenthèse de lecture.
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