>
Critique de sabine59
Mes proches savent que je suis fan depuis toujours de Francis Cabrel. Et deux d'entre eux ont donc eu la même idée pour Noël ! Je me suis retrouvée avec deux exemplaires de ce superbe ouvrage. 😉
Je connaissais évidemment quelques éléments de sa vie, tout au moins ceux que ce chanteur très discret a bien voulu révéler . le livre retrace chronologiquement son itinéraire d'artiste, depuis le groupe " Les Gaulois" de sa région , dont il était le chanteur, en passant par sa consécration avec" Sarbacane" jusqu'à son dernier album.
Quelques détails que j'ignorais m'ont amusée ou surprise, par exemple le fait qu'il ait été renvoyé du Lycée en première pour activisme politique ( il appartenait à un groupe maoïste ) , ou qu'il ait dû au tout début de ses premiers enregistrements accepter les arrangements assez démodés qu'on lui proposait.
Par contre, je savais ( ah, ce désir de formater les gens!) que pour " Petite Marie', on lui avait demandé de gommer son accent qui faisait trop province. Il a toujours regretté d'avoir cédé, mais il a ensuite fait une autre version, naturelle cette fois.
Ma seule ( petite) réticence, c'est que les photos auraient pu être parfois mieux choisies: peu m'importe de voir figurer dans cet ouvrage René Coty ( président quand Cabrel est né en 1953) ou Johnny Hallyday seul. Ce n'est pas le propos.
J'ai été ravie de parcourir ces éclats de vie d'un homme qui a su rester simple, modeste, mais qui avait dès l'adolescence une ambition forte: écrire des chansons. Elles ruissellent de poésie et m'ont toujours fait vibrer. Merci, Francis!
Je connaissais évidemment quelques éléments de sa vie, tout au moins ceux que ce chanteur très discret a bien voulu révéler . le livre retrace chronologiquement son itinéraire d'artiste, depuis le groupe " Les Gaulois" de sa région , dont il était le chanteur, en passant par sa consécration avec" Sarbacane" jusqu'à son dernier album.
Quelques détails que j'ignorais m'ont amusée ou surprise, par exemple le fait qu'il ait été renvoyé du Lycée en première pour activisme politique ( il appartenait à un groupe maoïste ) , ou qu'il ait dû au tout début de ses premiers enregistrements accepter les arrangements assez démodés qu'on lui proposait.
Par contre, je savais ( ah, ce désir de formater les gens!) que pour " Petite Marie', on lui avait demandé de gommer son accent qui faisait trop province. Il a toujours regretté d'avoir cédé, mais il a ensuite fait une autre version, naturelle cette fois.
Ma seule ( petite) réticence, c'est que les photos auraient pu être parfois mieux choisies: peu m'importe de voir figurer dans cet ouvrage René Coty ( président quand Cabrel est né en 1953) ou Johnny Hallyday seul. Ce n'est pas le propos.
J'ai été ravie de parcourir ces éclats de vie d'un homme qui a su rester simple, modeste, mais qui avait dès l'adolescence une ambition forte: écrire des chansons. Elles ruissellent de poésie et m'ont toujours fait vibrer. Merci, Francis!
