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Critique de plotin
Second livre lu de Mitch Albom. Autant le premier, « le vieil homme qui m'a appris la vie » m'avait séduit, autant le second, « Premier appel du paradis », m'a déçu.
Dans « le vieil homme qui m'a appris la vie », l'auteur s'inspire de deux rencontres qui l'ont profondément marqué, l'une avec un pasteur, l'autre avec un rabbin. J'avais apprécié les réflexions sur les vraies valeurs de la vie : la force de la foi, les valeurs essentielles de la famille, la richesse tirée d'une vie tournée vers les autres, la sagesse acquise au fil de l'expérience de la vie, la mort et l'au-delà, le bien et le mal…. Bref un livre coup de coeur.
Dans « Premier appel du paradis », il s'agit d'un roman. L'histoire : des habitants d'une petite ville des États-Unis reçoivent des coups de fil de personnes décédées quelques années auparavant. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire car dès le début, on pressent une histoire policière. La difficulté de lecture vient du nombre de personnages entrant dans l'histoire, une trentaine. de nombreuses fois, j'ai du revenir en arrière pour retrouver qui est qui. La difficulté tient également au style de l'écriture, des phrases courtes d'une dizaine de mots, des dialogues beaucoup trop succincts, bien éloignés de la vraie vie.
Bref, « Premier appel du paradis » est le contraire d'un livre coup de coeur ! J'ai comme habitude, une fois la dernière page d'un livre terminé, de relire la 4° de couverture. Ici, les arguments sont élogieux : « Ce roman magnifique explore le pouvoir sans limite de la communication entre les êtres », « Un conte qui nous fait réfléchir, ressentir et espérer », « Magnifique et intelligent », « Peut-être l'histoire sur le paradis la plus émouvante et la plus merveilleuse »… Une quatrième de couverture dithyrambique. La déception à la lecture de ce livre en est d'autant plus forte.
Livre acquis dans le cadre de l'opération Masse Critique. Merci à Babelio et aux éditions Kero
Dans « le vieil homme qui m'a appris la vie », l'auteur s'inspire de deux rencontres qui l'ont profondément marqué, l'une avec un pasteur, l'autre avec un rabbin. J'avais apprécié les réflexions sur les vraies valeurs de la vie : la force de la foi, les valeurs essentielles de la famille, la richesse tirée d'une vie tournée vers les autres, la sagesse acquise au fil de l'expérience de la vie, la mort et l'au-delà, le bien et le mal…. Bref un livre coup de coeur.
Dans « Premier appel du paradis », il s'agit d'un roman. L'histoire : des habitants d'une petite ville des États-Unis reçoivent des coups de fil de personnes décédées quelques années auparavant. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire car dès le début, on pressent une histoire policière. La difficulté de lecture vient du nombre de personnages entrant dans l'histoire, une trentaine. de nombreuses fois, j'ai du revenir en arrière pour retrouver qui est qui. La difficulté tient également au style de l'écriture, des phrases courtes d'une dizaine de mots, des dialogues beaucoup trop succincts, bien éloignés de la vraie vie.
Bref, « Premier appel du paradis » est le contraire d'un livre coup de coeur ! J'ai comme habitude, une fois la dernière page d'un livre terminé, de relire la 4° de couverture. Ici, les arguments sont élogieux : « Ce roman magnifique explore le pouvoir sans limite de la communication entre les êtres », « Un conte qui nous fait réfléchir, ressentir et espérer », « Magnifique et intelligent », « Peut-être l'histoire sur le paradis la plus émouvante et la plus merveilleuse »… Une quatrième de couverture dithyrambique. La déception à la lecture de ce livre en est d'autant plus forte.
Livre acquis dans le cadre de l'opération Masse Critique. Merci à Babelio et aux éditions Kero
