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Critique de Cababip
Voilà enfin la fin de cette saga, qui m'a hantée tant d'années car je n'arrivais plus à retrouver son titre, ne pouvant ainsi me procurer la suite.
Je dois le dire, je suis heureuse qu'elle se termine. Autant j'ai été charmée, transportée durant toute la durée du premier tome, autant je ressens aujourd'hui une certaine lassitude à la fin de ce dernier opus.
J'aime toujours autant les personnages, même si quelques attraits m'ont un tant soit peu gênée, mais aujourd'hui, je trouvais que l'histoire tournait un peu en rond.
Même si l'auteure a tenté beaucoup de choses dans ce troisième tome, y ajoutant de nouveaux personnages qui deviennent importants au fil du récit (Dave, je t'aime), cela n'apportait plus tellement d'intérêt au fil conducteur du départ.
Malgré tout, Gaïa Alexia sait à merveille nous tenir en haleine jusqu'à la fin, et nous porter jusqu'à la dernière page, pour connaître le dénouement. J'ai surtout été habitée par une curiosité ravageuse pour savoir vraiment le fin de l'histoire du prologue (à ne surtout pas rater, il détermine absolument tout le roman). D'ailleurs, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, et de mon coeur aussi, qui faisait quelques soubresauts au rythme de ma tristesse.
Une fin tout de même à avoir, mais je ne relirai certainement pas la saga entière, me contenterai peut-être du premier tome, qui est sans nul doute mon préféré.
Je dois le dire, je suis heureuse qu'elle se termine. Autant j'ai été charmée, transportée durant toute la durée du premier tome, autant je ressens aujourd'hui une certaine lassitude à la fin de ce dernier opus.
J'aime toujours autant les personnages, même si quelques attraits m'ont un tant soit peu gênée, mais aujourd'hui, je trouvais que l'histoire tournait un peu en rond.
Même si l'auteure a tenté beaucoup de choses dans ce troisième tome, y ajoutant de nouveaux personnages qui deviennent importants au fil du récit (Dave, je t'aime), cela n'apportait plus tellement d'intérêt au fil conducteur du départ.
Malgré tout, Gaïa Alexia sait à merveille nous tenir en haleine jusqu'à la fin, et nous porter jusqu'à la dernière page, pour connaître le dénouement. J'ai surtout été habitée par une curiosité ravageuse pour savoir vraiment le fin de l'histoire du prologue (à ne surtout pas rater, il détermine absolument tout le roman). D'ailleurs, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, et de mon coeur aussi, qui faisait quelques soubresauts au rythme de ma tristesse.
Une fin tout de même à avoir, mais je ne relirai certainement pas la saga entière, me contenterai peut-être du premier tome, qui est sans nul doute mon préféré.
