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Critique de Pebook
Du haut de ses 15 ans, Miran est contraint de tout quitter : sa famille, son pays détruit par la guerre, son humanité. Réduit au rang d'animal, l'adolescent va être contraint de s'oublier pour tenter de survivre sur le chemin de la migration, brutal, violent et cruel qui le mènera peut-être vers la liberté.
Ce roman mêle poésie, brutalité, onirisme et souffrances, ce n'est pas une lecture anodine, elle marque l'esprit et s'inscrit dans la mémoire grâce à un style puissant, percutant et profondément littéraire. Il y a beaucoup de noirceur dans cette histoire (noirceur hélas vraie dans le monde réel) mais aussi de la lumière, de la résilience et de l'espoir.
Je découvre l'autrice dans un nouveau genre et c'est une réussite. le héros fait partie de cette masse des migrants qu'on finit par ne plus voir, Cécile Alix lui donne une identité, une histoire et change notre regard.
Une lecture magnifique.
Ce roman mêle poésie, brutalité, onirisme et souffrances, ce n'est pas une lecture anodine, elle marque l'esprit et s'inscrit dans la mémoire grâce à un style puissant, percutant et profondément littéraire. Il y a beaucoup de noirceur dans cette histoire (noirceur hélas vraie dans le monde réel) mais aussi de la lumière, de la résilience et de l'espoir.
Je découvre l'autrice dans un nouveau genre et c'est une réussite. le héros fait partie de cette masse des migrants qu'on finit par ne plus voir, Cécile Alix lui donne une identité, une histoire et change notre regard.
Une lecture magnifique.
