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Critique de fnitter
Second tome de la série H.P 7 3/4.
HP est désormais un Auror bien installé dans son travail, efficace et respecté par les autres. Au niveau personnel, le moment fort sera son mariage avec Ginny (c'est bon, c'est pas une surprise non plus). le tome explore plus avant sa vie personnelle, la relation avec ses amis et des enquêtes criminelles.
Il faut dire que même si la série se passe sur 19 ans puisqu'elle a pour but de faire la liaison entre les deux derniers chapitres des reliques de la mort, il se passe quand même pas mal de choses dans le monde sorcier.
Avec une vue un peu plus mature, qui va avec l'évolution du personnage principal, on apprend qu'il y a des maisons closes et malgré tout un sacré paquet de fripouilles et beaucoup trop de morts pour le nombre de sorciers qu'ils sont censés être.
En faisant une petite recherche sur internet, notamment grâce au nombre d'élèves d'une classe d'âge, il avait été estimé à 5.000 ou 6.000 leur nombre en Angleterre.
Alixe nous parle elle de quelques dizaines de milliers (donc entre 10.000 et 100.000) ce qui devient plus cohérent avec l'univers qu'elle développe. Tant mieux. D'un autre côté, l'univers de Rowling semblait réellement un peu trop étriqué et sous-dimensionné par rapport aux effectifs d'un ministère surpeuplé lui pour le coup.
HP est désormais un Auror bien installé dans son travail, efficace et respecté par les autres. Au niveau personnel, le moment fort sera son mariage avec Ginny (c'est bon, c'est pas une surprise non plus). le tome explore plus avant sa vie personnelle, la relation avec ses amis et des enquêtes criminelles.
Il faut dire que même si la série se passe sur 19 ans puisqu'elle a pour but de faire la liaison entre les deux derniers chapitres des reliques de la mort, il se passe quand même pas mal de choses dans le monde sorcier.
Avec une vue un peu plus mature, qui va avec l'évolution du personnage principal, on apprend qu'il y a des maisons closes et malgré tout un sacré paquet de fripouilles et beaucoup trop de morts pour le nombre de sorciers qu'ils sont censés être.
En faisant une petite recherche sur internet, notamment grâce au nombre d'élèves d'une classe d'âge, il avait été estimé à 5.000 ou 6.000 leur nombre en Angleterre.
Alixe nous parle elle de quelques dizaines de milliers (donc entre 10.000 et 100.000) ce qui devient plus cohérent avec l'univers qu'elle développe. Tant mieux. D'un autre côté, l'univers de Rowling semblait réellement un peu trop étriqué et sous-dimensionné par rapport aux effectifs d'un ministère surpeuplé lui pour le coup.
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