— Il m’a dit qu’il viendrait ici pour parler. Dans un lieu public. Pourquoi ? Il croit que je vais faire quoi si on est seuls, l’abattre ?
— Les hommes. On ne peut pas vivre avec, on ne peut pas vivre sans et on ne peut pas les abattre.
— Comment peux-tu être si calme ? Comment te sentirais-tu si ton mari te posait un lapin ?
— Étant donné qu’il est mort, Fred, je ne serais pas surprise outre mesure.
Elle était tellement sudiste que ses larmes venaient tout droit du Mississippi et qu'elle sentait toujours imperceptiblement le coton et les pêches.
Summer is wonderful. Fresh air, open windows, picking tomatoes and eating them while they're still warm from the sun.
Le bonheur vous remplit, mais lorsque l'on est heureux pour quelqu'un d'autre, cela déborde.
roman frais léger, personnages sympatiques
Vivre,c'est faire des expériences,Claire, dit enfin Sydney. Tu ne peux pas tout maîtriser.
Tandis qu'il s'éloignait, elle songea combien c'était triste de se dire qu'elle n'avait aimé qu'un seul homme : celui-là, qui l'avait depuis longtemps reléguée au rang de frasque de jeunesse, alors qu'elle l'avait considéré comme l'amour de sa vie.
Elle regrettait vraiment de ne pas savoir jeter des sorts
histoire mystérieuse de deux sœurs qui rencontre l'amour avec des petites touche d'humour. J'ai surtout apprécié l'humour concernant le pommier.
- L'amour fait toujours souffrir. Tu le sais déjà. Tu ignores juste que ça en vaut la peine.
A chaque lune montante, Claire rêvait immanquablement de son enfance. Elle essayait de rester éveillée tandis que les étoiles clignaient de l’œil , l’astre, mince croissant d’argent, regardait le monde de haut avec le même sourire provocateur que les jolies femmes sur les affiches publicitaires rétro. Ces nuits-là, en été, Claire jardinait à la lumière des lampes à énergie solaire qui bordaient le sentier , elle désherbait et taillait les fleurs nocturnes : la belle-de-nuit et la trompette des anges, le jasmin et le tabac. Celles-ci ne faisaient pas partie des espèces comestibles du patrimoine Waverley. Claire les avait plantées pour occuper ses insomnies, lorsqu’elle était si énervée que la frustration consumait le bord de sa chemise de nuit et allumait de minuscules incendies au bout de ses doigts.