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Critique de evergreen13
La mort n'est pas une fin
Depuis le décès accidentel de son frère Thomas survenu en 2001 en Afghanistan, Stéphane Allix se questionne sur la mort et sur l'au-delà.
Lorsque son père est décédé, il a placé dans son cercueil quatre objets (une enveloppe contenant une lettre sur laquelle il avait écrit une phrase, un pinceau, une boussole et un livre) quatre objets significatifs pour son père. Un an et demi plus tard, Stéphane Allix est allé consulter 6 médiums afin qu'ils entrent en contact avec son père.
Voici une expérience qui peut prêter à sourire (j'entends le rire narquois de certains disant que "c'est truqué") les médiums étant considérés par les esprits cartésiens comme des charlatans.
Pour ma part, je ne sais qu'une chose : je ne sais pas.
Je ne sais pas s'il est possible de communiquer avec les morts, je ne sais pas si les médiums existent, je ne sais pas ce qui se passe lorsque nous mourons et après la mort.
Stéphane Allix, quant à lui, est persuadé que la mort n'est pas la fin de la vie et que celle-ci se poursuit, dans une autre dimension, la mort étant la fin de la vie physique mais pas de la vie psychique, ceci sans aucune notion de religion.
Quoi qu'il en soit et quelles que soient nos "croyances", ce livre est très intéressant à plusieurs niveaux.
Tout d'abord, il parle des relations entre un fils et son père, l'amour, les non-dits par pudeur ou par peur, le deuil, le chagrin.
Ensuite, on veut savoir : ces médiums vont-ils parvenir à communiquer avec le père de l'auteur et ce dernier pourra-t-il nommer les objets cachés ?
De plus, l'auteur ne se contente pas de retranscrire les séances passées avec les médiums. Pour chacun il nous explique qui ils sont, comment ils ont "reçu" leur "don" et comment ils s'en servent. C'est passionnant.
A la fin de l'ouvrage, Stéphane Allix s'entretient avec le docteur Christophe Fauré psychiatre, spécialisé dans l'accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches sur le processus de deuil et sur l'intérêt (ou pas) de consulter un médium (à ce propos, en annexe l'auteur met en garde les personnes en deuil et les incite à la vigilance).
Depuis le décès accidentel de son frère Thomas survenu en 2001 en Afghanistan, Stéphane Allix se questionne sur la mort et sur l'au-delà.
Lorsque son père est décédé, il a placé dans son cercueil quatre objets (une enveloppe contenant une lettre sur laquelle il avait écrit une phrase, un pinceau, une boussole et un livre) quatre objets significatifs pour son père. Un an et demi plus tard, Stéphane Allix est allé consulter 6 médiums afin qu'ils entrent en contact avec son père.
Voici une expérience qui peut prêter à sourire (j'entends le rire narquois de certains disant que "c'est truqué") les médiums étant considérés par les esprits cartésiens comme des charlatans.
Pour ma part, je ne sais qu'une chose : je ne sais pas.
Je ne sais pas s'il est possible de communiquer avec les morts, je ne sais pas si les médiums existent, je ne sais pas ce qui se passe lorsque nous mourons et après la mort.
Stéphane Allix, quant à lui, est persuadé que la mort n'est pas la fin de la vie et que celle-ci se poursuit, dans une autre dimension, la mort étant la fin de la vie physique mais pas de la vie psychique, ceci sans aucune notion de religion.
Quoi qu'il en soit et quelles que soient nos "croyances", ce livre est très intéressant à plusieurs niveaux.
Tout d'abord, il parle des relations entre un fils et son père, l'amour, les non-dits par pudeur ou par peur, le deuil, le chagrin.
Ensuite, on veut savoir : ces médiums vont-ils parvenir à communiquer avec le père de l'auteur et ce dernier pourra-t-il nommer les objets cachés ?
De plus, l'auteur ne se contente pas de retranscrire les séances passées avec les médiums. Pour chacun il nous explique qui ils sont, comment ils ont "reçu" leur "don" et comment ils s'en servent. C'est passionnant.
A la fin de l'ouvrage, Stéphane Allix s'entretient avec le docteur Christophe Fauré psychiatre, spécialisé dans l'accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches sur le processus de deuil et sur l'intérêt (ou pas) de consulter un médium (à ce propos, en annexe l'auteur met en garde les personnes en deuil et les incite à la vigilance).
