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Critique de jamiK
On reconnaît bien ces personnages de Dostoïevski, torturé, en contradiction avec eux-même. Je n'ai pas lu cette nouvelle, mais pour moi, c'est ça, ça représente bien ce que je connait de son oeuvre.
Le personnage principal et narrateur, est prêteur sur gages, militaire démissionnaire, c'est un avare, calculateur, hypocondriaque, sa vision de l'amour est pervertie par ses défauts. L'histoire nous raconte sa vie de couple tragique, elle à 16 ans, lui 41.
Le trait est noir, brut, épais, les couleurs chaudes, de rouge et d'ocre, sauf pour le temps présent qui joue sur les couleurs froides de gris bleutés. Les illustrations sont sombres et lumineuses à la fois, nous voguons dans une atmosphère romantique, tragique, dégageant un sentiment d'opression, de tension. le jeux avec les tailles de vignettes, les détails de paysages ou d'oeuvres exposées dans sa boutique rythment l'aventure. Dans certains moments forts, le dessin se déstructure, les éléments architecturaux se déforment, ou alors parfois, en forme de ponctuation, des ornementations s'emparent de l'image. C'est court, simple, beau… et tragique.
Le personnage principal et narrateur, est prêteur sur gages, militaire démissionnaire, c'est un avare, calculateur, hypocondriaque, sa vision de l'amour est pervertie par ses défauts. L'histoire nous raconte sa vie de couple tragique, elle à 16 ans, lui 41.
Le trait est noir, brut, épais, les couleurs chaudes, de rouge et d'ocre, sauf pour le temps présent qui joue sur les couleurs froides de gris bleutés. Les illustrations sont sombres et lumineuses à la fois, nous voguons dans une atmosphère romantique, tragique, dégageant un sentiment d'opression, de tension. le jeux avec les tailles de vignettes, les détails de paysages ou d'oeuvres exposées dans sa boutique rythment l'aventure. Dans certains moments forts, le dessin se déstructure, les éléments architecturaux se déforment, ou alors parfois, en forme de ponctuation, des ornementations s'emparent de l'image. C'est court, simple, beau… et tragique.
