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Critique de Antiigone
Un livre où il faut du temps pour le lire, découvrir chaque partie à part entière, se questionner et plonger dans l'introspection. Un livre dont la lecture ne laisse pas indemne et où l'on sera amené à réfléchir sur nous-mêmes et sur le monde.
Divisé en 3 grandes parties thématiques, chaque chapitre est écrit par un professionnel différent, nous exposant son expérience sur une problématique rencontrée, de laquelle il a su tirer des leçons de vies et comment la psychothérapie et son rôle de "psy" s'en retrouve impacté. Les phobies, la dépression, l'anxiété sociale, le deuil ou encore la parentalité font partie des sujets mis sur le tapis. Il y a des astuces, des exercices, des pistes de réflexions. Tout est très bien construit !
Les deux seuls bémols sont, selon moi, que les thérapies exposées sont principalement les TCC, la relaxation/méditation et les neurosciences, mettant de côté d'autres types de thérapies qui pourrait mieux convenir à certaines personnes et dans lesquelles elles se retrouveraient davantage. Ensuite, le discours apparaît parfois moralisateur et comme seule source de vérité. Certains professionnels prennent une place de "maître du savoir" dans le domaine exposé et, au vu de la bienveillance et de la visée de l'ouvrage, j'ai trouvé cela déplacé.
Divisé en 3 grandes parties thématiques, chaque chapitre est écrit par un professionnel différent, nous exposant son expérience sur une problématique rencontrée, de laquelle il a su tirer des leçons de vies et comment la psychothérapie et son rôle de "psy" s'en retrouve impacté. Les phobies, la dépression, l'anxiété sociale, le deuil ou encore la parentalité font partie des sujets mis sur le tapis. Il y a des astuces, des exercices, des pistes de réflexions. Tout est très bien construit !
Les deux seuls bémols sont, selon moi, que les thérapies exposées sont principalement les TCC, la relaxation/méditation et les neurosciences, mettant de côté d'autres types de thérapies qui pourrait mieux convenir à certaines personnes et dans lesquelles elles se retrouveraient davantage. Ensuite, le discours apparaît parfois moralisateur et comme seule source de vérité. Certains professionnels prennent une place de "maître du savoir" dans le domaine exposé et, au vu de la bienveillance et de la visée de l'ouvrage, j'ai trouvé cela déplacé.
