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Critique de CaroGalmard
Et si le plus important c'était juste de tenter de réaliser ses rêves d'enfants ?
Là, au milieu d'un glacier, dans les années 50 : aller à la chasse aux dinosaures. Vous savez, ces grosses bestioles disparues avant que nous on apparaisse et qui fascinent les petits garçons depuis toujours.
Et il y a ce vieux garçon qui réveille le petit garçon qui sommeille en lui et qui ose. Il ose tout laisser tomber : sa vie pépère, son petit bureau poussiéreux de paléontologue "poussi-heureux". Il part à la chasse au dinosaure, car c'est son rêve de toujours. Depuis qu'il a trouvé un petit fossile. Il la veut sa carcasse historique. Pour lui, mais surtout pour imaginer les yeux brillants de fierté de sa maman. Pour le pognon que ça lui rapporterait. Pour emmener sa maman à l'opéra, dans un grand restaurant, dans un appartement avec de moulures. Il veut du bling-bling juste pour elle. C'est beau et délicat. C'est mignon et touchant.
Il part à l'assaut de la montagne avec un guide, son grand ami et l'ami de son grand ami. Plus un personnage dont je vous laisse la surprise.
Le huis-clos est sublime, sur les cimes, dans le froid, l'immensité du temps et de l'espace.
Poussée par les nombreuses très bonnes critiques, j'avais déjà lu Ma Reine de cet auteur mais j'avais moyennement apprécié, trouvant que l'histoire, en dépit d'une ambiance tout à fait envoûtante, manquait un peu trop de crédibilité.
Avec ce second roman, l'auteur à trouvé le juste mot, le juste ton. C'est parfait. Comme j'aime.
Alors, faut-il le lire ? Oui. Un oui aussi grand qu'un Diplodocus.
Là, au milieu d'un glacier, dans les années 50 : aller à la chasse aux dinosaures. Vous savez, ces grosses bestioles disparues avant que nous on apparaisse et qui fascinent les petits garçons depuis toujours.
Et il y a ce vieux garçon qui réveille le petit garçon qui sommeille en lui et qui ose. Il ose tout laisser tomber : sa vie pépère, son petit bureau poussiéreux de paléontologue "poussi-heureux". Il part à la chasse au dinosaure, car c'est son rêve de toujours. Depuis qu'il a trouvé un petit fossile. Il la veut sa carcasse historique. Pour lui, mais surtout pour imaginer les yeux brillants de fierté de sa maman. Pour le pognon que ça lui rapporterait. Pour emmener sa maman à l'opéra, dans un grand restaurant, dans un appartement avec de moulures. Il veut du bling-bling juste pour elle. C'est beau et délicat. C'est mignon et touchant.
Il part à l'assaut de la montagne avec un guide, son grand ami et l'ami de son grand ami. Plus un personnage dont je vous laisse la surprise.
Le huis-clos est sublime, sur les cimes, dans le froid, l'immensité du temps et de l'espace.
Poussée par les nombreuses très bonnes critiques, j'avais déjà lu Ma Reine de cet auteur mais j'avais moyennement apprécié, trouvant que l'histoire, en dépit d'une ambiance tout à fait envoûtante, manquait un peu trop de crédibilité.
Avec ce second roman, l'auteur à trouvé le juste mot, le juste ton. C'est parfait. Comme j'aime.
Alors, faut-il le lire ? Oui. Un oui aussi grand qu'un Diplodocus.
