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Critique de sagebooker
Habituée des séries d'urban fantasy assaisonnées de romance, j'avais commencé trois fois le tome 1 sans accrocher... c'est après avoir beaucoup aimé la série Dynasties des mêmes auteurs que je revenue à Kate Daniels, motivée, me disant que je ne pouvais pas apprécier autant une série et rester si fermée à une autre.
J'avais donc la série dans ma liseuse depuis trois ans, quand je m'y suis attelée un soir de fatigue... au point de commencer par ce troisième tome. Certes cela me semblait un peu compliqué du point de vue des espèces diverses présentées et des relations déjà en place, mais pas si incompréhensible. Il m'a fallu deux jours avant de vérifier la couverture en plein jour et comprendre! Une fois lu, et très apprécié, c'était clair que je ne repartirai pas sur le tome 1, tant pis, et donc tant pis pour le 2 aussi... j'en suis au 5, et j'apprécie toujours autant, même si, bien sûr, l'héroïne qui ne fait que se battre, et dont le prétendant est forcément un chef, bien fichu, charismatique et puissant... ça n'est pas original. Mais quand ça n'est pas original, on compte sur le monde créé, l'écriture et les idées. Et il y a tout cela chez Ilona Andrews... donc à lire.
J'avais donc la série dans ma liseuse depuis trois ans, quand je m'y suis attelée un soir de fatigue... au point de commencer par ce troisième tome. Certes cela me semblait un peu compliqué du point de vue des espèces diverses présentées et des relations déjà en place, mais pas si incompréhensible. Il m'a fallu deux jours avant de vérifier la couverture en plein jour et comprendre! Une fois lu, et très apprécié, c'était clair que je ne repartirai pas sur le tome 1, tant pis, et donc tant pis pour le 2 aussi... j'en suis au 5, et j'apprécie toujours autant, même si, bien sûr, l'héroïne qui ne fait que se battre, et dont le prétendant est forcément un chef, bien fichu, charismatique et puissant... ça n'est pas original. Mais quand ça n'est pas original, on compte sur le monde créé, l'écriture et les idées. Et il y a tout cela chez Ilona Andrews... donc à lire.
