Les Flamands n'étaient donc pas ces sauvages nationalistes qui se promenaient dans les rues avec un couteau entre les dents ? (p. 81)
Les nationalistes et l'extrême-droite majoritaires avaient coupé le bec à toute opposition et les médias aux mains du gouvernement ne diffusaient plus ou peu les visages et les noms de celles et de ceux qui faisaient entendre un son de cloche différent de celui du pouvoir. On se serait cru en Tunisie au temps de Benali. (p. 56)
La Flandre n'allait quand même pas lécher le cul des Wallons sous prétexte que leur coq avait des couilles en or ! (p. 55)
Pas question d'avouer qu'on s'était planté en s'isolant ! Il fallait donc des boucs-émissaires et on affirma donc que les Wallons avaient profité de l'annexion de Bruxelles pour appauvrir la Flandre et lui ravir les entreprises florissantes en leur louant des terrains à des prix ridicules. (p. 32)