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Critique de domisylzen
Dans ce numéro ce n'est pas le sujet principal … la chasse aux dragons.
Certes il y en a un mais il est vite trouvé et vite ratatiné. En à peine deux pages celui-ci est dézingué. L'héroïne arrive et cric crac kodak le transperce d'un coup d'épée.
Oh je ne dévoile pas grand-chose car le scénario tournicote toujours autour du même sujet d'un numéro à l'autre. Enfin sur les trois premiers c'est comme ça. Un dragon ne peut être tué que par une jeune fille vierge … bien roulée de préférence.
Cette fois-ci le chemin de la narration serpente autour d'une famille qui vit des effets de la mort des dragons, s'approche au plus près pour récupérer trésors et toutes choses négociables, en faisant gaffe de ne pas être atteint du veill qui déforme tout autour de la bête.
Les dessins sont toujours aussi bluffants et la mise en couleur renforce la tension qui monte inexorablement. Dans celui-ci j'ai trouvé les expressions de certains des personnages bizarres, pas forcément bien réalisées.
L'héroïne quant à elle apparait de loin dans les premières planches, la confondant presque avec un mec. Puis, au fur et mesure du déroulement elle devient moins vêtue et plus en gros plan.
Bref un numéro sympa que j'ai pris plaisir à lire et à relire une seconde fois avant de le rendre.
Certes il y en a un mais il est vite trouvé et vite ratatiné. En à peine deux pages celui-ci est dézingué. L'héroïne arrive et cric crac kodak le transperce d'un coup d'épée.
Oh je ne dévoile pas grand-chose car le scénario tournicote toujours autour du même sujet d'un numéro à l'autre. Enfin sur les trois premiers c'est comme ça. Un dragon ne peut être tué que par une jeune fille vierge … bien roulée de préférence.
Cette fois-ci le chemin de la narration serpente autour d'une famille qui vit des effets de la mort des dragons, s'approche au plus près pour récupérer trésors et toutes choses négociables, en faisant gaffe de ne pas être atteint du veill qui déforme tout autour de la bête.
Les dessins sont toujours aussi bluffants et la mise en couleur renforce la tension qui monte inexorablement. Dans celui-ci j'ai trouvé les expressions de certains des personnages bizarres, pas forcément bien réalisées.
L'héroïne quant à elle apparait de loin dans les premières planches, la confondant presque avec un mec. Puis, au fur et mesure du déroulement elle devient moins vêtue et plus en gros plan.
Bref un numéro sympa que j'ai pris plaisir à lire et à relire une seconde fois avant de le rendre.
