C'est le premier livre de
Christine Angot que je lis (je ne pense pas que j'en lirai d'autres) et je dois dire que c'est un coup de poing au plexus. Certes l'acceptation du début des attouchements et sa passivité, voire son inertie, sont particulièrement bien décrites. Elle ne cache rien, elle ne se cache pas derrière des excuses et elle nous captive littéralement. Mais on a l'impression de devenir, au fil des pages, voyeur, avec comme le sentiment de guigner par le trou de la serrure. Au bout du compte on est un peu lessivé, groggy et on est content que ça s'arrête. Alors,
les autres titres...
L'inceste,
Une semaine de vacances... basta !
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