La colline aux adieux

Le combat d'une femme, mariée et mère, pour s'émanciper après avoir été dans l'obligation d'aller vivre chez ses beaux-parents.

C'est long (vraiment long…), fade et le style est très terne.
L'histoire est pourtant plutôt intéressante mais l'auteure tourne en rond et ne parvient jamais à faire décoller son oeuvre.

Les personnages sont beaucoup trop caricaturaux ; les femmes sont totalement soumises et amorphes ; le contexte religieux est vraiment trop présent à mon goût.

Bref… j'ai souffert mais je suis allé au bout.

Depuis que James a décidé de revenir vivre chez ses parents, suite à la perte de son travail, Ellen a le sentiment de perdre le contrôle de sa vie. Ses beaux-parents ne sont pourtant pas très âgés mais leur maison, leur vie sent le vieux. Pire, James redevient un petit garçon face à eux, entre un père violent et une mère qui joue les impotentes. Pourtant, elle n'a pas connaissance du discours que ses beaux-parents tiennent à ses enfants quand elle s'absente, le soir, juste pour prendre l'air...

J'ai trouvé l'ambiance de ce roman horrible, c'est plombant, glauque, beurk !
Déniché dans une boîte à livres à Paris, j'abandonne ce livre sur un banc du Jardin des Plantes à Nantes sans aucun remord...