S ur le départ pour un voyage au Japon, j'ai replongé avec une autrice japonaise que je n'ai pas encore pratiquée, AOYAMA Michiko. Alors on est clairement dans les codes japonais, c'est un peu lent mais c'est surtout empreint de bienveillance et d'espoir. Pour l'histoire, Sayuri Komachi tient une petite bibliothèque de quartier et renseigne les usagers avec une manière bien à elle et les oriente certes vers leur demande mais les ouvre également à autres choses.
J'ai longtemps hésité en cours de lecture pour qualifier ce petit roman -très similaire à mon sens à «
Tant que le café est encore chaud » de
Toshikazu KAWAGUCHI- entre japonaiseries et japoniaiseries mais au final non c'est plutôt agréable et bien fait. On s'y plonge avec volupté.
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