« Lecteur, il y a grand besoin de ta force, à toi, pour transformer le monde », lit-on page 426. Militant, l'auteur ? Un peu.
Louis Aragon, lorsqu'il écrit ce livre en 1934, vient de s'éloigner des milieux surréalistes et tend vers le mouvement du réalisme socialiste.
Les cloches de Bâle est manifestement un roman à thèse. L'ouvrage se divise en trois parties et un épilogue, où sont opposées Diane de Nettencourt, bourgeoise profiteuse, et Catherine Simonidzé, jeune exilée géorgienne. Suite à la répresssion d'un mouvement social d'horlogers à Cluses, celle-ci s'interroge, se rapproche des mouvements anarchistes et du monde ouvrier.
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