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Critique de bdelhausse
J'ai craint le pire... ce tome 3 débute par deux chapitres tellement conventionnels que j'ai effectivement craint le pire. On retrouve les deux alchimistes d'Etat qui vont se faire refaire une santé auprès de deux ingénieures spécialisées en automails, en membres cyber pourrait-on dire. le ton est léger, gaudriolesque presque. On a quelques personnages additionnels qui sont plutôt bien décrits.
Une fois les alchimistes requinqués, on enchaîne sur un chapitre où les alchimistes essaient de retrouver la trace de la pierre philosophale. Sur base des indications du professeur Tim Marcoh croisé dans le tome 2, et qui a mené des expérimentations sur les corps et l'âme, Edward Elric se plonge dans les notes recomposées par une bibliothécaire à la mémoire infaillible. le ton est aussi à l'emphase, à l'exagération, aux habituels et regrettables émois de mangas où les personnages donnent l'impression de surjouer les émotions. Cela se prend dans les bras avec des bouches rectangulaires figées... on aligne les blagues et l'humour potache à deux balles, j'en passe et des meilleures.
Les deux autres chapitres voient les alchimistes se rendre au centre d'expérimentation et affronter les deux gardiens. Ce sont d'anciens détenus, tueurs en série, rendus prisonniers de leur armure, eux aussi (comme Alphonse Elric, le frère du FullMetal Alchemist). Ces deux chapitres ouvrent énormément de pistes pour les prochains tomes. Ils sont épiques, vifs et rythmés. Et le cliffhanger est bien amené (contrairement aux deux premiers tomes).
Par moment, j'ai regretté que le dessin soit si sobre. Mais en général, c'est plutôt bienvenu. Trop de mangas sont basés sur des dessins trop fouillés, trop complexes et trop denses pour le format. Ce n'est pas le cas ici.
Une fois les alchimistes requinqués, on enchaîne sur un chapitre où les alchimistes essaient de retrouver la trace de la pierre philosophale. Sur base des indications du professeur Tim Marcoh croisé dans le tome 2, et qui a mené des expérimentations sur les corps et l'âme, Edward Elric se plonge dans les notes recomposées par une bibliothécaire à la mémoire infaillible. le ton est aussi à l'emphase, à l'exagération, aux habituels et regrettables émois de mangas où les personnages donnent l'impression de surjouer les émotions. Cela se prend dans les bras avec des bouches rectangulaires figées... on aligne les blagues et l'humour potache à deux balles, j'en passe et des meilleures.
Les deux autres chapitres voient les alchimistes se rendre au centre d'expérimentation et affronter les deux gardiens. Ce sont d'anciens détenus, tueurs en série, rendus prisonniers de leur armure, eux aussi (comme Alphonse Elric, le frère du FullMetal Alchemist). Ces deux chapitres ouvrent énormément de pistes pour les prochains tomes. Ils sont épiques, vifs et rythmés. Et le cliffhanger est bien amené (contrairement aux deux premiers tomes).
Par moment, j'ai regretté que le dessin soit si sobre. Mais en général, c'est plutôt bienvenu. Trop de mangas sont basés sur des dessins trop fouillés, trop complexes et trop denses pour le format. Ce n'est pas le cas ici.
